Voici les résumés des chapitres 158 à 162 de Remarried Empress.
Chapitre 158
Le chapitre commence par la diffusion de plusieurs rumeurs dans le palais. Comme quoi, Navier prendrait des médicaments pour avoir un enfant.
Notre impératrice regarde les gens faire, mais elle trouve bizarre que le marquis de Kreton et le Duc de Liberty ne fassent rien. Elle sent le calme avant la tempête.
Navier va donc demander son avis à Heinley, qui lui apprend qu’il y a une grande dispute au sein de la famille du marquis. Krenton est donc occupé. Navier et Heinley ne peuvent qu’attendre.
C’est alors qu’au cours de la conversation, Navier active un peu sa magie. En voyant ça, Heinley est anxieux. Il se demande s’il devrait aller à l’académie bientôt ou attendre encore.
Sovieshu est avec sa fille, Glory. Il essaye de lui faire dire « papa ». L’enfant rit dans les bras de son père. La vicomtesse Verdi voit cette scène et trouve l’empereur et la princesse adorable. Néanmoins, elle pense que trop de sacrifices ont été faits pour cet enfant.
C’est alors que le marquis de Karl demande à voir Sovieshu en tête à tête. Il lui montre un article dans le journal. Dans celui-ci, il parle d’un homme prétendant être le père de Rashta. Celui-ci explique qu’il a travaillé dur pour sa fille, qu’il ne savait pas qu’elle était impératrice et qu’il était triste d’être remplacé par une fausse famille noble.
En le lisant, Sovieshu fronce des sourcils et demande où est le document d’esclavagiste. Le marquis répond qu’il a du mal à chercher, car il doit le faire en secret.
Sovieshu est inquiet, si la mère de sa fille est une esclave, ça tachera son statut. Il faut qu’il vérifie si l’histoire est vraie. Il demande à voir Rashta.
Pendant ce temps, Rashta, en voyant l’article, convoque le journaliste qui est d’autres que Joanson. Dès que Rashta le voit, elle lui demande s’il a une rancune contre elle. Il répond que non, mais qu’il est là pour dire la vérité. S’ensuit une dispute. Puis Joanson dit soudainement qu’il est au même point, il veut récupérer sa sœur. Rashta dit qu’elle ne sait rien. Puis le journaliste fini avec : Jusqu’à ce que ma sœur revienne, je ne lâcherais pas l’impératrice.
Chapitre 159
Rashta est en colère et s’énerve sur le mobilier. Puis Sovieshu apparaît, lui demandant si l’article est vrai. Rashta entame une dispute, puis termine en disant que l’homme n’est pas son vrai père. Sovieshu accepte et part.
De retour dans son bureau, Sovieshu dit au marquis que Rashta a menti. Maintenant, il sait voir quand Rashta ment. Le marquis trouve ça triste, c’est à cause de cet homme que Rashta est devenue une esclave. Il demande à Sovieshu, s’il va agir. Celui-ci répond positivement, mais pas tout de suite, il y a trop d’yeux qui le regardent en ce moment.
Heinley a enfin pris sa décision, ils vont aller à l’académie. Il faut mieux le faire maintenant, avant que l’estomac de Navier soit plein. Après quelques mots doux et embrassade, ils commencent à préparer le voyage.
Ils ont fait tout pour être discret. Une voiture simple, quelque vêtement, très peu de serviteurs. Rien n’indique que le véhicule conduit l’impératrice et l’empereur.
Malheureusement, deux jours avant leur départ. Un roi d’un pays lointain demande à voir Heinley pour une demande au sujet du port. Navier doit donc y aller seule, au grand désespoir de Heinley. Il était si heureux de partir en voyage en couple, que maintenant il déprime. Il s’inquiète aussi pour Navier, mais elle arrive à le rassurer.
Dans le véhicule, Navier pense à Heinley. En fait, elle aussi voulait être avec lui. On apprend que Navier n’a amené que deux femmes de chambre et qu’elles s’étaient disputées entre elles pour savoir qui viendrait. On sait également que les bonnes sont au courant que Navier a de la magie en elle.
Il arrive enfin à destination. Le vicomte de Landre est là pour l’accueillir, mais il semble triste en colère.
On apprend alors qu’il est inquiet, il aime Nian (la meilleure amie de Navier). Mais depuis quelque temps des nobles riches et beaux, lui tourne autour. Il se sent inférieur et croit qu’il ne mérite pas son cœur. Les deux bonnes rient de l’histoire et rassurent le vicomte. En écoutant leur interaction, Navier se retient de rire.
Le vicomte se détend, quand d’un coup son visage redevient sombre. Navier se retourne pour voir ce qu’il regarde aussi sévèrement. Elle voit alors Sovieshu.
Les deux se regardent maladroitement, l’atmosphère devient lourde. Personne ne dit rien, jusqu’à ce que Navier félicite son ex-mari pour le bébé. Sovieshu la remercie. Puis il demande à son escorte de partir. Navier trouve ça troublant, mais décide de faire de même.
Sovieshu lui demande alors pourquoi elle a maigrir. Il semble contrarier ce qui étonne Navier. Elle n’ose pas lui dire qu’elle est enceinte, d’où sa perte d’appétit. Elle ne sait pas quoi dire. Sovieshu continue de parler et lui demande si c’est à cause de son mari.
Chapitre 160
Navier répond non. Sovieshu lui propose alors de revenir. Elle continue de répondre négativement, essayant de convaincre son ex-mari. Mais il ne semble pas la croire. Il croit qu’elle est trop fière. Navier choisit de terminer la discussion.
Alors qu’elle va partir, Sovieshu lu parle de rumeur qu’il a entendue, celle où elle est malheureuse à cause de Heinley. Navier défend tout de suite son mari, disant qu’elle est heureuse. Sovieshu lui demande si elle était heureuse avec lui. Elle répond que oui, mais seulement lors de leur enfance.
Sovieshu continue en parlant de Christa et son aventure avec Heinley. Navier dément toute l’histoire. Puis elle dit que même si c’est vrai, ce n’est pas ces oignons.
Sovieshu ne voulant pas qu’elle parte, et lui demande pourquoi elle est là. Elle lui répond au bon d’un moment, qu’elle vient voir le doyen. Sovieshu lui demande pourquoi. Elle répond qu’il n’a pas à savoir. Puis Sovieshu la questionne pour savoir si elle a un rapport avec la diminution de la magie. Navier est confuse et ne comprend pas de quoi il parle. Sovieshu finit la discussion en lui disant de faire attention à Heinley.
Navier enfin libérée de Sovieshu va au bureau de doyen. Elle lui demande de l’aide, mais il refuse. Il explique que tant que les soupçons sur le pays que dirige Heinley ne sont pas levés, il ne peut pas aider. Navier ne comprend pas, et lui pose des questions à ce sujet. Le doyen répond juste qu’il espère que Navier n’y participe pas. Il l’espère vraiment.
Navier va au restaurant seul et se souvient de la discussion avec le doyen et Sovieshu. Elle comprend que les deux pensent que l’empire d’Occident a provoqué la baisse de puissance magique. Elle trouve cette idée absurde. Heinley n’est pas si terrifiant et comment aurait-il fait. Puis elle pense au lit magique, au fait qu’elle soit une sorcière…
Perdue dans ses pensées, Navier est interpellée par ses bonnes, qui lui parlent du journal. Il faut savoir que Rashta a répondu qu’elle prendrait, soin de ses parents nobles et de l’homme qui prétend être son père. Le journaliste a justement écrit une réponse à ce sujet. Disant que Rashta était trop généreuse, et qu’elle manque de détermination. Si c’est ainsi, tout le monde peut prétendre être ses parents. Il vaudrait mieux qu’elle passe un test au temple. Ainsi, elle pourra prouver si oui ou non, elle est liée à cet homme.
En lisant ça, Navier se demande ce qui est arrivé à Rashta.
Navier revient à l’empire et Heinley l’accueille avec joie. Elle lui informe qu’elle n’a pas reçu d’aide. Elle attrape la main de Heinley et l’embrasse. Puis elle lui demande d’aider les gens comme Evely en manque de pouvoir, vu qu’il en a la capacité. Cette requête étonne Heinley. Elle continue en disant qu’elle va aussi demander de l’aider à Krafmen, vu qu’il a été à l’académie.
C’est la nuit, Navier dort avec Heinley, se sentant enfin chez elle. Mais à un moment elle se réveille, sans Heinley à ses côtés. Elle décide de ce lever, car elle a faim. C’est alors qu’elle entend Heinley, qui demande à récupérer le collier d’Evely.
Chapitre 161
Heinley ordonne à McKenna de retrouver le collier en toute discrétion. Au pire il doit le détruire. C’est alors que McKenna sent que quelqu’un les espionna. Heinley ouvre la porte, mais ne voit personne. Néanmoins, il voit la poignée de porte geler. Il comprend que Navier était là.
Heinley retourne dans la chambre et voit sa femme sur le lit qui dort. Navier fait semblant de dormir et pense à la conversation, à Evely en larme, aux sorciers. Elle ne peut pas imaginer Heinley faire ça. Elle ne veut pas y croire. Entre-temps Heinley s’est rapproché, l’embrasse sur le front, remonte la couverture et se couche. À cause de ces gestes, tendre Navier ne sait plus quoi penser. Elle comprend la tactique de Heinley. Mais elle lui en veut un peu de s’en prendre à son pays d’origine.
Le lendemain, Navier se réveille, elle a faim. Heinley arrive avec le petit-déjeuner. Navier mange tout en pensant à l’événement d’hier. Puis elle lui demande comment ça s’est passé avec le port. A-t-il signé un traité de non-agression ? Heinley répond que c’est le cas, que tout est réglé maintenant. Le problème de Whitemond est clos.
Nous passons au père de Christa dans son bureau qui parle avec son vassal. IL explique qu’il se doute que la rumeur sur la stérilité de Navier est fausse. Même si c’est le marquis de Kreton qui l’a rependu. Il est d’ailleurs bizarre que Heinley ne l’ait pas réfuté.
Le duc demande alors s’il a eu une lettre de Christa. Mais aucune nouvelle n’est arrivée. Il prend la décision d’aller rendre visite à sa fille, il doit la voir absolument.
Le vicomte Roteche, recherche toujours l’enfant perdu des faux parents de Rashta. Son enquête l’amène à un vieil orphelinat parrainé par Navier. Il a réussi à prendre rendez-vous avec le directeur de l’établissement. Celui-ci lui apprend que le jour indiquer par le vicomte, il a accueilli deux filles.
L’une d’elles a retrouvé ses parents, il y a cinq ans. Il n’en reste plus qu’une. Elle fait même la fierté de l’orphelinat. Elle s’appelle Evely.
Chapitre 162
En apprenant la nouvelle, le vicomte Roteche est surpris. Il décide de vérifier de son côté, en embauchant un mercenaire. Il lui demande de prendre quelque goutte de sang d’Evely pour passer un test de paternité. Entre-temps, le vicomte recherchera sa fille.
Le père de Christa se rend chez elle. Il veut apaiser sa fille et surtout la revoir. Arrive au manoir, les chevaliers qui gardent la porte principale refusent de le faire rentrer. Ceux-ci répondent que Christa veut ne voir personne, même sa famille.
Après s’être calmé, le duc réfléchit et trouve la situation bizarre. Il décide d’engager un mercenaire discret pour qu’il rentre à l’intérieur du bâtiment et voit l’état de Christa.
Au bout d’un moment, le mercenaire revient. Il avertit le duc que toutes les fenêtres et les portes sont bloquées. L’ancienne reine est nourrie grâce à une trappe comme une prisonnière. Le duc comprend que sa fille est incarcérée comme un criminel. Ce qui le rend fou de rage.
Énervé, il veut se venger de Heinley et de Navier. Il décide de donner de la nourriture bonne pour le corps à l’impératrice, mais mauvaise pour les bébés. Le duc veut provoquer à Navier une fausse couche. Il confit cette tache à un garde de confiance. Il devra mettre ces aliments lors d’une fête religieuse qui aura bientôt lieu. L’empereur et l’impératrice ne peuvent pas refuser l’offrande, Navier sera obligée de manger.
On apprend que, dans le royaume occidental, il y a un grand événement appelé « Grande prière ». Ceci consiste à sacrifier six types d’aliment à l’empereur et sa femme, puis à offrir une prière. Le couple royal ne peut ni cracher ni faire tomber la nourriture. Par contre, ils ne sont pas obligés de tout manger, mais ils doivent goûter à tout.
Navier en apprenant la nouvelle s’inquiète, elle a peur de vomir la nourriture, car elle est enceinte. Ce qui pourrait être signe de malheur.
Au moment où la nourriture arrive, Navier voit qu’elle ne peut pas en manger la plupart. Heinley le voit également. Elle décide de dire au prêtre qu’elle est enceinte de deux mois environ.
Heinley comprend ce qu’elle veut faire et sourit. Le prêtre ne comprend pas les agissements du couple, jusqu’à ce que Heinley lui dise la bonne nouvelle. Au début, les aristocrates et le prêtre ne comprennent pas ce qu’ils viennent d’entendre. Navier rit d’eux.
Elle fixe alors la nourriture. Elle est sûre d’une chose, ce n’est pas une coïncidence.
Sous le choc, Sovieshu apprend que Navier est enceinte. Il n’en croit pas ses oreilles. Il demande même si la source est fiable. Le visage de l’empereur est déformé, il tremble à cette nouvelle.
Il se pose plein de questions. Navier n’était donc pas stérile ? Elle n’est jamais tombée enceinte avec lui, mais un an dans l’autre pays et elle a un bébé (Oui, mais bon, ils le font tout le temps, je ne crois pas que c’était le cas avec toi).
Il regarde la peinture. Si Navier n’était pas stérile, alors qu’elle était le but de son plan. N’était-il pas futile ? De même pour le divorce…
Il a fait tout ceci avec l’idée qu’elle était infertile… Mais… Ce n’est pas le cas…
Sovieshu regarde son enfant. Son regard se remplit de peur. Et si, ce n’était pas Navier qui était stérile, mais… LUI !