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Alter Reality Chap.5 : Rescapé p.3

Voici le chapitre 5 du tome 1 de mon Light Novel Alter Reality.
Toutes les deux semaines, un chapitre sera posté. N’hésitez pas à donner votre avis.

Vous pouvez lire les chapitres précédents ici :
Chapitre 1 – Catastrophe p.1
Chapitre 2 – Catastrophe p.2
Chapitre 3 – Rescapé p.1
Chapitre 4 – Rescapé p.2

Kate – Magasin de prêteur sur gage

Le récit de mon frère terminé, je me massai la tête digérant toute cette histoire. J’étais surtout effarée d’apprendre que mon frère aurait pu mourir. S’il n’avait pas eu cette armure ni cet homme…

Je… Je ne sais pas ce que je serais devenue.

— Malheureusement, je ne peux pas te dire la source de ce phénomène.

Toujours dans son histoire, mon frère me coupa dans mes pensées.

— Je m’en doute. Mais c’est quand même bizarre, ces créatures qui nous ont attaquées, elles viennent…

— De jeux vidéo, je sais…

Vick le dit avec une telle facilité et fierté que j’en étais désemparée. Cette situation avait l’air de lui plaire. Ses yeux brillaient de curiosité, comme  lorsqu’il avait une énigme à résoudre.

Je le sentais mal… Il faudrait que je le surveille de près.

— Mais comment ? Je veux dire amener un monde virtuel dans notre monde, c’est déjà une chose. Mais plusieurs.

— Et encore, il y a mieux. J’ai remarqué que ces monstres commençaient à établir une sorte d’écosystème. Certaines créatures qui ne s’étaient jamais croisées avant interagissent entre elles comme le feraient des animaux.

— Ça a l’air de te plaire.

Les yeux de mon frère étincelaient d’une lueur si intense qu’ils auraient pu rendre aveugle.

— Mais c’est génial, ça veut dire qu’elles sont douées d’une capacité d’adaptation. Une intelligence artificielle créée par l’homme n’est même pas encore capable de faire ça. On a seulement créé des IA qui pouvaient faire face à des problèmes déjà programmés en elles.

— Concrètement, ça veut dire ?

— Que ces choses, ces monstres ne sont pas des programmes, mais que ce sont des êtres vivants doués d’une conscience.

Une conscience ?

Ces créatures étaient donc vivantes. C’était impossible !

Elles étaient sorties de l’imagination de leur créateur. Elle ne venait pas de mère Nature. Aucun pixel n’avait jamais tué personne et n’avait encore moins le pouvoir de la réflexion.

Qui avait provoqué ça ? Pourquoi ? Comment ?

Ou alors…

Il y avait une autre explication. C’était dingue, mais…

Ces monstres venaient-ils vraiment de nos jeux ?

Où provenaient-ils d’un univers alternatif inconnu à nos yeux ?

Mon frère prit soudainement un air sérieux.

— Il y a aussi un autre phénomène bizarre, depuis cette attaque.

— Oui ?

— Il n’y a plus de réseau, et plus de production d’électricité.

— Oui, je l’ai remarqué, impossible de se connecter sur Speak.Net

— Exact. Par contre, les Altereurs, nos seules armes, marchent. Le hasard fait bien les choses, comme on dit.

Vick n’avait pas tort. L’Altereur était le seul outil à notre disposition pour nous défendre et il fonctionnait encore. À croire que la compagnie, qui l’avait mis sur le marché, avait prévu son coup.

Je me demande ce qu’elle aura à dire là-dessus. Une chose est sûre, la technologie provenant des Altereurs n’était pas toute blanche dans cette histoire.

— Vick, mis à part cette histoire, j’espère que tu n’essayeras plus de faire face à un dinosaure terrorisé à l’avenir.

Vick haussa des épaules, comme s’il n’était pas concerné.

— Il m’a attaqué par surprise, je te signale. Je n’ai jamais cherché à le combattre.

— Ce n’est pas ce que je voulais dire.

—…

— Je suis juste…

— Inquiète, je sais.

— Tu as eu de la chance que cette armure t’ait protégé. J’espère que tu te balades toujours avec, quand tu vas à l’extérieur.

— Je t’ai parlé de…

Mon frère leva les yeux au ciel, faisant mine de passer à autre chose.

— Vick !

— Oui…

— Tu la portais, quand tu me recherchais ?

— Heu… Non…

— Pourquoi ?

Ma colère commençait à monter et Vick devait le sentir, car son sourire se raidit.

— Alors, ce n’est pas contre ma volonté, je t’assure…

— Vick !

— Comme t’expliquer ça… L’armure était à utilisation unique. Je dois la recharger en jouant une partie sur console et comme il y a plus d’électricité… Pas d’armure.

Je le regardai avec une expression sombre.

— Donc tu étais dehors sans rien pour te protéger.

— Je ne dirais pas ça, j’avais mon autre jeu, Metalboy.

— Hmmm…

Je ne sais pas ce qui m’énervait le plus, le fait que mon frère soit sorti sans aucune protection dans un monde rempli de créatures assoiffées de sang, ou qu’il soit complètement inconscient.

Bon, c’est vrai, ce n’était pas de sa faute. Le système actuel faisait que certaines cartouches devaient être rechargées en ressource en passant par une console.

Ce système de jeu était dû à un traité commercial entre Alteria et les éditeurs de jeux vidéo. C’était pour ces derniers une garantie de ne pas voir leurs technologies être développées par des concurrents. Ainsi, les joueurs devaient acheter, en plus de l’Altereur, les consoles liées au jeu.

Si, pendant d’une bataille, on se retrouvait sans munitions ou sans protection, il fallait recharger en branchant la cartouche sur la console et y jouer. De même, pour débloquer de nouveaux armements pour l’Altereur, il fallait avancer dans le jeu.

Certaines licences allaient même jusqu’à offrir des bonus comme des accessoires visuels, si le jeu était fini à 100 %. Je ne parle même pas des DLC, qui permettaient parfois de remettre un jeu au goût du jour.

Bref, un système purement commercial, qui faisait parfois débat.

Le problème c’est que nous n’avions aucune console ni électricité à disposition. Heureusement un de mes jeux avait une arme aux munitions infinies.

— Je suis désolé de vous interrompre, mais c’est moi qui ai autorisé votre frère à sortir.

Ben s’interposa gentiment entre mon frère et moi. Je pouvais voir dans ses yeux qu’il n’aimait pas les disputes.

— Je parie qu’il vous a harcelé pendant des heures.

Ben rit maladroitement.

— Vous connaissez bien votre frère. Mais il était vraiment inquiet.

— Je sais… Je sais… Mais j’aurais préféré qu’il attende sagement.

Vick se leva pour prendre sa défense.

— Attends ! Si je n’étais pas sortie, tu serais sûrement morte déchiquetée par ces reptiles.

— Oui, sûrement, mais…

— On se calme, les jeunes !

Alors que le ton recommençait à monter, Ben nous apaisa de nouveau.

— Je crois que tout le monde a compris que vous teniez l’un à l’autre.

— …

Le silence régna un petit moment, jusqu’à ce que Vick laissa échapper un petit rire.

— Héhéhé

— Ça te fait rire Vick ?

— Oui. Ça me fait plaisir de te revoir saine et sauve.

Je ne pus que sourire.

— Moi aussi.

— Bon, bah voilà. Je préfère ça. Kate !

Alors que mon frère et moi redevenions complices, Ben me montra visage grave. Il avait l’air de vouloir me demander quelque chose.

— Oui ?

— Je sais que ce n’est pas vraiment le moment pour cette conversation. Mais y avait-il avec toi d’autres survivants ? Je pourrais les abriter ici.

— Oui. Ils sont même assez nombreux.

— C’est vrai !

En entendant ma réponse, les adolescents derrière moi se levèrent pour s’approcher. Leurs yeux étaient remplis d’espoir, comme s’ils s’attendaient à avoir une bonne nouvelle. Certains d’entre eux devaient espérer voir un proche vivant. Nerveuse, je continuai de parler.

— Ils sont actuellement à l’abri dans une banque.

— Une banque ?

— Plus exactement à l’intérieur d’un coffre-fort. Ils sont sûrement plus en sécurité qu’ici, sans être offensante.

En réponse, Ben secoua sa main de gauche à droite.

— Non, non, je sais bien que ma boutique ne peut rien faire face à ce qu’il y a dehors.

De nouveau, je souris, fixant Ben.

— J’aimerais vous demander si vous voulez venir avec moi là-bas. J’avais prévu de m’y réfugier avec Vick.

— C’est assez loin ?

— Non, pas tant que ça. En plus, je n’ai pas vu beaucoup de ces créatures sur le chemin.

— Mhhhh.

— Le plus important, c’est d’être discret.

— Je vois…

Ben réfléchit, tout en regardant autour de lui.

— Il y a une possibilité d’amener du matériel ?

— Il faudrait qu’il soit transportable dans un sac à dos et léger. Car, en cas d’attaque…

— Il faudra courir. Je comprends.

Vick regarda Ben et fronça des sourcils.

— Ma sœur et moi, on peut vous défendre, mais dans le cas d’une grosse attaque.

J’acquiesçai.

— Oui. Voilà pourquoi il faut être discret.

— Moi aussi, je peux aider !

À cette voix, je tournai ma tête en direction d’un jeune garçon aux cheveux rouges, quelques mèches noires prouvaient qu’ils étaient teints.

— Tu es sûr ?

— Je ne suis pas du genre à aider les autres. Mais là, c’est une question de survie.

Le garçon avait une voix froide et claire. Je ne sais pas s’il avait une confiance parfaite en lui, ou s’il n’était pas conscient du danger. Pour appuyer ces propos, il montra son Altereur, qui était attaché à son poignet.

Je devais accepter son aide. Nous n’étions pas de trop pour protéger tout le monde. Un garde du corps en plus ne se refusait pas.

Néanmoins, quelque chose me gênait chez lui. Ce garçon était vraiment en mauvais état, ses vêtements étaient sales et troués. Son visage était fatigué, et son regard éteint, comme s’il avait vécu beaucoup trop de choses pour son âge.

Qu’avait-il vu ?

Qu’avait-il vécu ?

Je ne le saurais peut-être jamais.

— D’accord. Donc on sera trois à défendre.

Ben baissa les yeux convaincus.

— De toute façon, je crois qu’on n’a pas le choix, il faut se rassembler. Plus on sera nombreux, plus on pourra facilement être secouru. Si on se disperse, on aura du mal à nous trouver.

Vick hocha de la tête.

— C’est sûr qu’il vaut mieux faciliter les recherches.

Je fixai Ben, et lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis un bon moment.

— Quand voulez-vous y aller ?

— Maintenant !

J’affichai une expression perplexe face à cette réponse.

— Vous êtes sûr ?

— Oui, le plus tôt sera le mieux.

Ben se tourna vers le groupe et tapa dans ses mains, comme un professeur voulant attirer l’attention de ses élèves.

— Allez, tout le monde, préparez vos affaires et attendez-moi devant la porte de devant.

Tout le groupe se mit en action, prenant sacs, manteaux et le reste. Pendant ce temps, je sortis à l’extérieur, pour regarder les alentours.

Vick me suivit. Je lui fis un grand sourire.

— Je suis vraiment contente que tu ailles bien, Vick.

— Ton petit frère est plus solide que tu le crois, tu sais.

— Oui. Mais… Tout ça… Tous ces événements… J’ai vraiment imaginé le pire.

— Arrête d’angoisser. Toute cette histoire vient juste de commencer, il va falloir survivre jusqu’à l’arrivée des secours. Du moins s’ils viennent un jour.

Je grimaçai.

— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?

— Ce phénomène ne touche peut-être que notre ville, ou alors le monde entier. Si c’est le cas…

Je lui lançai un regard abattu et lui coupai la parole.

— Personne ne viendra nous sauver… C’est ce que tu veux dire.

Vick soupira.

— Peut-être même que ce monde deviendra notre quotidien.

Je me mis alors à rire nerveusement.

— Tu parles comme si on était dans une de ces séries télé, où l’histoire se passe après une attaque de zombie.

— J’espère que je me trompe.

— Moi aussi…

Nous restâmes silencieux pendant un moment, méditant sur nos paroles.

Notre quotidien ?

Franchement, je ne souhaitais pas ça. Une vie où il fallait surveiller nos arrières, où il fallait se battre pour manger, boire ou vivre. Personne ne voulait ça. C’était même impensable.

C’est alors que Ben sortit sa tête de la porte, nous faisant signe de la main. Grâce à lui, je remis mes idées noires au placard.

— Eh ! C’est bon, nous sommes tous prêts.

Je pris une grande inspiration et lui répondis calmement.

— Alors, on y va !

Comme je connaissais le chemin, je me retrouvai en tête de file, accompagné de l’autre jeune garçon. Quant à Vick, il surveillait nos arrières en cas d’attaque-surprise.

Après plusieurs minutes de marche silencieuse, je décidai de commencer une conversation, pour essayer de briser la glace avec mes futurs camarades.

— En fait, comment vous appelez-vous ?

Pour commencer, je regardai mon compagnon de route aux cheveux rouges.

— Jim.

Jim ne se donna même pas la peine de me regarder. Il observait juste l’horizon, tout en remontant son écharpe rouge au niveau de sa bouche. Je fixai ensuite la fille de gauche se trouvant derrière moi.

— Et vous ?

— Sarah

La jeune fille sourit timidement, aussitôt un des garçons continua les présentations.

— Moi, je suis Jake, et lui, c’est Max

À mon tour, je souris. Vu leurs ressemblances, je me permis de leur poser une question indiscrète.

— Enchantée. Vous êtes frère ?

— Non ! Pas vraiment, nous sommes amis. On était en train de sortir de cours, quand…

Le visage des trois adolescents s’assombrit. Je préférai arrêter là, la discussion. Je sentais que leurs esprits étaient encore perturbés par les événements.

La cicatrisation allait être longue pour certains. Surtout pour des enfants qui n’avaient jamais vécu de guerre ou de catastrophe. En fait, j’étais dans le même bateau.

Heureusement, sur le chemin aucun de nous ne fut blessé. Nous n’avions subi aucune attaque. Nous croisâmes qu’une seule créature sur notre route.

À première vue, elle avait l’air inoffensive. Pourtant, Vick nous arrêta et demanda à l’observer. Au début, je ne compris pas sa requête. Mais comme il était celui qui connaissait le plus l’univers des jeux vidéo, je préférais l’écouter.

Cachée, derrière des gravats avec le reste du groupe, je regardai en silence cette petite créature. Elle était aussi grande qu’un petit ballon de football. Sa forme rappelait grossièrement celle d’un crabe. Sa carapace était de couleur crème.

La créature se déplaçait comme un chiot maladroit relevant ses pattes plus haut que nécessaire. Quand d’un coup le crabe sauta sur un cadavre humain. Sur le dos du mort, il rampa jusqu’au sommet de la tête, puis il engloba tout le crâne avec son corps. C’est alors que le cadavre fut pris de violents spasmes musculaires.

Je regardai la scène horrifiée. Cette chose était en train de dévorer le corps d’un être humain. Ce qui expliquait certainement le peu de cadavres que j’avais vu.

— On part. Il ne va pas s’occuper de nous. Mais, il vaut mieux ne pas être là quand il aura fini.

J’étais d’accord avec lui. Nous continuâmes notre route, jusqu’à atteindre les portes vitrées de la banque.

Soulagée d’être à bon port, je jetais une dernière fois un coup d’œil à la rue. Le soleil couchant embrasait de ses rayons les immeubles, dessinant de grandes ombres sur le sol. Ce paysage aurait fait une belle photo, si tout autour de nous s’il n’y avait pas que des ruines.

Le pire était d’entendre au loin le hurlement d’une créature non identifiée. Suivi d’une cacophonie de grognements qui s’éleva en réponse.

Mon corps frissonna. Bizarrement, je sentis que nous n’étions pas en sécurité, même dans cette banque.

J’espérai que Vick avait tort. Que ce nouveau monde ne deviendrait pas notre quotidien.

Recette : Sandwich à la fraise et à la crème chantilly (Sando aux fraises)

Vous avez sûrement déjà vu des desserts dans les mangas ou les animés qui donnent envie d’y goûter. Malheureusement, ces desserts étant étrangers, il est parfois difficile de les retrouver dans nos régions. Pourtant, ils sont souvent très faciles à faire.
Je vais vous apprendre à préparer un Sando à la fraise, ce sandwich populaire composé de fruits et de chantilly.
Bon appétit.

Ingrédient

– 4 tranches de brioche.
– Des fraises
– 20 cl crème liquide froid
– 100 g de mascarpone
– 2 à 3 c. à soupe de sucre glace
– 1/2 c. à café d’extrait de vanille

Préparation

1/ Enlevez la croûte des brioches.
2/ Nettoyez les fraises, équeutez-les et coupez-les en deux.
3/ Dans un grand bol froid, versez la crème liquide et le mascarpone. Avec un fouet électrique, battez les crèmes jusqu’à ce qu’elles montent en chantilly.
4/ Ajoutez l’extrait de vanille et le sucre glace, fouettez une dernière fois à la vitesse maximale pour serrer la crème.
5/ Répartissez la chantilly sur une tranche de brioches. Déposez les fraises et recouvrez-les de chantilly, puis déposez de nouveau une tranche de brioches. Refaites l’opération autant que vous voulez.
6/ Coupez le sandwich en deux avant de servir.

Conseil

Pour que la chantilly prenne bien, il faut prendre de la crème liquide avec 30% de matière grasse. Il faut également qu’elle soit froide ainsi que le saladier qui va la contenir.
Si vous n’aimez pas les fraises, sachez que vous pouvez la remplacer par du Kiwi, des abricots, des cerises ou tout fruit qui vous donne envie.

Liste de logiciels de correction d’orthographe

Vous avez beau être doué en français, vous ferez quand même des fautes d’orthographe. C’est pour ça que d’avoir comme assistant un logiciel ou un site de correction est un plus dans le milieu de l’écriture. Le problème c’est de savoir lequel vous correspond le mieux. Voici une liste de logiciels et sites qui peuvent vous aider à corriger votre roman, votre nouvelle ou même votre bande dessinée.

Note : Cette liste met en avant des logiciels et des sites de corrections payants et gratuits. Faites donc attention lors de votre choix, surtout si vous n’avez pas un gros budget.

Antidote

Antidote est un des meilleurs logiciels de correction. Il est très performant, permettant autant la correction grammaticale, détecter les tournures de phrases maladroites, les répétitions ou l’emploi de vocabulaire familier. Il a également un dictionnaire, et différents guides de grammaire, de typologie, de lexique, de syntaxe, etc., pour aiguiller l’auteur.
Mais, son grand avantage, c’est son dictionnaire personne, surtout si vous écrivez de la fantaisie, du fantastique ou de la science-fiction et que vous avez votre propre vocabulaire. Ceci permet de prendre entre comptes les mots « inconnus » dans la correction et de la rendre plus fluide.
Antidote peut également s’intégrer dans de nombreux logiciels de rédaction comme Word ou open Office.
Le seul problème est le prix, compter  119 euros à l’achat pour avoir le droit d’utiliser Antidote 10.

Le Robert Correcteur

Le Robert Correcteur est un logiciel de correction qui est tiré du dictionnaire du même nom. Il permet de corriger les erreurs les plus fréquentes en analysant votre texte en un clic. Son interface est simple et facile à comprendre, elle s’intègre à beaucoup de logiciels de rédaction.
Son point fort, en plus d’avoir un dictionnaire, et la correction des fautes de ponctuation. Il est recommandé d’avoir le Robert en plus d’un autre logiciel de correction. Il détient également un dictionnaire personnel, mais beaucoup moins performant que celui d’Antidote.
Malheureusement, le logiciel n’est pas gratuit, il coûte actuellement 99 euros et vous n’aurez droit qu’à 3 licences.

Cordial

Cordial est un logiciel de correction orthographique, développé par une société toulousaine. Il met à disposition plus de 15 dictionnaires différents : lexique, synonymes, antonymes, abréviations, signes, rimes, etc. Le logiciel propose pas moins de 190 000 définitions et 4,6 millions de liens synonymiques, ce qui est le plus complet.
Comme les deux logiciels cités plus haut, il s’intègre à de nombreux logiciels de rédaction.
Il existe une version gratuite du logiciel que l’on retrouve sur le site et qui permet de corriger un texte de maximum 1000 caractères.
La version payante comprend deux versions, une pour les particuliers et l’autre pour les professionnels. Il faudra débourser 119 euros pour pouvoir l’installer.
Une dernière chose, on reproche souvent au logiciel son interface qui n’est pas très claire et difficile à comprendre. De plus, le logiciel présente parfois des lenteurs donc il faut un bon ordinateur.

LanguageTool

LanguageTool est un logiciel de correction orthographique très simple et en ligne. Dès l’ouverture de la page, on vous propose de copier-coller votre texte et d’appuyer sur un bouton pour lancer la correction.
Vous pouvez intégrer cet outil en téléchargeant une extension Google Chrome ou un plug-in Open Office pour corriger directement vos écrits.
LanguageTool corrige également dans d’autres langues comme l’anglais, l’allemand, le russe et plus encore.
Cet outil propose deux versions, une gratuite où vous pouvez mettre jusqu’à 20 000 caractères et une version premium à 59 euros par an proposant de corriger le double de mots.

Scribens

Scribens est un outil en ligne de correction d’orthographe assez simple à utiliser. Il suffit de copier-coller votre texte dans l’interface pour qu’il identifie les fautes d’orthographe, de grammaire, de typo et de syntaxe et les surligne. Un petit pop-up s’ouvrira pour vous proposer de corriger le mot, mais aussi pour vous rediriger vers la règle d’orthographe correspondante. Ce qui est un plus, si vous cherchez à vous améliorer.
Un autre avantage est sa capacité de corriger autant les textes français qu’en anglais.
Il existe une version gratuite et une version premium (5,90 euros par mois) qui dispose d’options supplémentaires et qui permet de corriger des textes jusqu’à 200 00 mots.

Bonpatron

Bonpatron est un logiciel simple et gratuit. Il faut juste copier-coller son texte dans l’interface du site. Cet outil vous indiquera les erreurs et vous conseillera sur la manière de les corriger. Un bulle vous renseignera également sur les règles de grammaire les plus courantes.
Vous avez comme option de définir si votre narrateur (« je ») est un homme ou une femme. Ce qui permettra au logiciel de faire automatiquement l’accord masculin-féminin. Il met aussi à disposition un dictionnaire français-anglais.
Il existe une version payante pour 11,99 euros par an, sans publicité et permettant d’archiver vos textes.

Reverso

Reverso est un logiciel de correction en ligne, où il suffit de copier-coller son texte dans une interface. Il corrige les fautes d’orthographe et, un peu les fautes de grammaire.
Lorsque plusieurs corrections sont possibles, il vous propose plusieurs solutions, à la fin ce sera à vous de choisir.
Vous pouvez télécharger une extension pour la mettre sur le navigateur Firefox et l’utiliser directement lorsque vous écrivez un mail ou un post sur les réseaux sociaux. Reverso corrige également les textes en anglais

NeuroSpell

NeuroSpell est un correcteur gratuit et expérimental qui utilise les réseaux neuronaux (Deep Learning). Il permet de corriger avant tout les textes mal écrits couramment utilisés sur les réseaux sociaux ou dans les SMS. Ainsi, il ne fait pas que corriger les erreurs, il réécrit tous les mots d’une phrase pour trouver la formulation la plus adaptée.
Vous pouvez corriger pour le moment que des textes en anglais et en français.

Français Facile

Français facile est un site web qui permet via un outil de corriger votre texte. Il faut juste copier-coller son texte dans la fenêtre du site. Ce logiciel ne corrige pas la grammaire, juste l’orthographe.
Par contre, il permet de corriger une quinzaine d’autres langues, dont l’anglais, l’espagnol, l’italien…

Correcteurorthographe

Ce site permet de corriger l’orthographe et la grammaire dans 11 langues différentes. L’interface est très simple, il suffit de copier/coller un texte pour voir les fautes via un pop-up. Vous aurez alors des suggestions de corrections, vous pourrez les appliquer ou les ignorer.

Larousse

Larousse n’est pas vraiment un logiciel de correction, mais plus un dictionnaire en ligne. Il est une référence en la matière et a aidé des milliers d’écrivains pour corriger leur texte. De plus, le faire manuellement, permet de se souvenir des erreurs et de les éviter plus tard.
Le site met à disposition toutes les définitions du Larousse et un dictionnaire de synonymes. Mais également un outil, appeler le conjugateur qui donne la conjugaison de 9600 verbes français à tous les temps et à tous les modes.