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Les différents types de colorants alimentaires

Lorsque vous débutez en pâtisserie, vous ne savez pas automatiquement quel colorant utiliser dans vos gâteaux. Ils en existent sous différentes formes et certains s’utilisent qu’avec un type d’aliment. Alors, lequel prendre dans ces conditions ?
Et si je vous aidais, en vous expliquant : les différents types de colorants alimentaires.

Un colorant alimentaire, c’est quoi ?

Les colorants alimentaires sont des substances que vous rajoutez aux aliments ou préparations pour leur offrir un aspect coloré, ludique, appétissant ou original. Normalement, il n’altère pas le goût. Toutefois, les colorants peuvent avoir un effet exhausteur, c’est-à-dire qu’il renforce la saveur d’un ingrédient. Par exemple, le jaune rappelle le citron.

Il faut savoir qu’il existe plusieurs familles de colorants alimentaires, soit :
Les colorants naturels : Ils sont présents dans la nature, comme la carotte ou la betterave.
Les colorants de synthèse : ils sont produits de façon industrielle, mais ils existent dans la nature.
Les colorants artificiels : ils n’existent pas du tout dans la nature et sont créés de façon industrielle.

Les colorants alimentaires sont aussi répartis dans deux catégories, soit :
Les colorants alimentaires hydrosolubles : Ils sont solubles dans l’eau. Ils conviennent pour la coloration des produits à base de sucre, de pâte d’amande ou les pâtes.
Les colorants alimentaires liposolubles : Ils sont solubles dans les graisses. Ils conviennent pour la coloration du beurre de cacao, du chocolat blanc, du beurre, ou de la margarine.

Enfin, les colorants alimentaires peuvent être incorporés de deux manières, soit :
Dans la masse: Les colorants sont incorporés directement dans la préparation et la colorent entièrement.
Pour la décoration et la finition: Les colorants sont apposés à la surface de l’aliment ou du gâteau. Ils servent souvent pour créer des effets (dorée, nacrée) ou rendre plus appétissant.

Note : Dans cet article, je ne parlerai que des colorants de masse, ceux, pour décorer, seront détaillés dans un autre article.

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Les colorants liquides

Les colorants liquides existent sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : ils sont faits à base d’eau et très faciles à incorporer aux appareils liquides et crémeux, qu’ils soient chaud ou froids. Ils peuvent aussi être utilisés dans les pâtes de pâtisseries cuites au four. Par contre, s’il vous cherchait à obtenir une couleur vive, il faudra en mettre un peu plus que la normale, car les gâteaux perdent une teinte à la cuisson.

Sous forme liposoluble : Ils sont également faciles à introduire à une préparation. Ils permettent de teindre les matières grasses, comme le beurre de cacao, le chocolat blanc, le beurre, ou encore la margarine.

Les « + »
– Ils s’adaptent à toutes sortes de préparations sucrées et salées.
– Ils peuvent s’utiliser dans différentes préparations.
– Les couleurs peuvent se mélanger entre elles, pour créer des teintes inédites.
– Le dosage est facile.

Les « - »
– Il n’est pas fiable en matière de coloration, il arrive que la cuisson rende la couleur plus terne.
– Ils sont une faible durée de conservation.
– La variété de couleurs sur le marché est faible.
– Ils ont un goût parfois désagréable.
– Dans certain cas, ils peuvent modification la texture de la pâte.
– Les pigments sont très dilués.

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Les colorants en poudre

Les colorants en poudre existent sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : Ils sont souvent utilisés comme décoration, en le saupoudrant ou en l’appliquant avec au pinceau. Ils peuvent également être mélangés avec des essences ou de la liqueur alcoolisée pour être utilisée en tant que peinture. Ils sont surtout utilisés pour colorer les fondants, car ils n’ont aucun goût. Par contre, les colorants en poudre sont très concentrés et durs à doser.

Sous forme liposoluble : Ils sont faciles à introduire à une préparation. Ils permettent de teindre les matières grasses, comme le chocolat blanc, le beurre, le nappage neutre à froid ou encore la margarine. Ils peuvent aussi être utilisés pour décorer du chocolat, des produits à base de sucre et de pâte d’amandes.

Les « + »
– Ils peuvent être utilisés sous différentes formes, en peinture, en décoration…
– Ils s’incorporent facilement dans les préparations humides.
– Si les colorants sont de bonne qualité, la teinte sera parfaite.
– Ils sont très concentrés.
– Les couleurs peuvent être mélangées entre elles avant l’incorporation.
– Les couleurs sont intenses et soutenues.
– Ils se conservent longtemps.

Les « - »
– Ils sont le moins indiqués pour teindre le chocolat.
– Ils sont très difficiles à doser, donc c’est très dur d’obtenir les mêmes teintes à chaque fois.
– Un colorant de mauvaise qualité peut conduire à des couleurs désastreuses.
– Il faut diluer au préalable le colorant avant de l’incorporer dans une pâte sèche.

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Les colorants en gels

Les colorants en gels existent aussi sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : Aussi appelés « colorants en pâte ». Ces colorants sont les préférés des pâtissiers, car ils sont concentrés et il est facile d’obtenir la nuance désirée. Ils vont dans toutes les pâtes à gâteaux ou les crèmes. Ils sont vendus dans une gamme de couleurs assez large, au moins une quarante de couleur.

Sous forme liposoluble : Ils permettent de teindre les matières grasses ou huileuses, comme le chocolat blanc, la crème au beurre, la margarine ou la pâte d’amandes. Les couleurs sont très intenses et surtout ces colorants ne changent pas la texture.

Les « + »
– Ils s’adaptent facilement à toutes les réalisations.
– Ils sont très concentrés.
– Ils s’incorporent facilement dans les préparations.
– Les couleurs sont intenses et soutenues
– Ils se conservent longtemps.

Les « - »
– Les couleurs sont difficulté à estimer dans le pot.
– Ils sont très difficiles à doser, sauf s’ils sont en tube.

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Les différents types d’éditions

Vous avez fini votre livre, il est corrigé et vous l’avez envoyé à des éditeurs. Bien sûr, vous avez reçu des réponses négatives, mais aussi positives. Devant les contrats qui vous sont proposés, vous ne savez pas lequel choisir. Il est peut-être temps de connaître la différence entre les types d’éditions, pour bien faire votre choix.

L’édition à compte d’éditeur

Un contrat à compte d’éditeur est celui que propose toute maison d’édition dite traditionnelle, c’est le plus connu. Ce sont des maisons d’édition qui font une sélection rigoureuse des textes et où l’auteur n’a pas à verser de l’argent pour être publié.
Ainsi, un contrat est signé entre l’auteur et l’éditeur. Dans celui-ci, l’auteur cède ses droits de diffusion, d’exploitation et de représentation contre une rémunération, appelé « Droit d’auteur ».
Normalement, la maison d’édition prend en charge la mise en page du texte, la création de la couverture, sa correction, et sa promotion. Dans ce cas, c’est l’éditeur qui prend un risque financier.
Toutefois, il existe plusieurs types de maisons d’édition à compte d’éditeur. Certes vous ne donnez pas un centime pour publier votre œuvre, mais quelques-unes de ces maisons profitent des débutants pour récupérer de l’argent sur les droits d’auteur.
Normalement, si vous signez un contrat vous devez gagner entre 5% à 8% de droit d’auteur (c’est soi-disant la norme). Il est considéré qu’en dessous de 5%, vous vous faites avoir. Mais au-dessus de 8%, c’est une affaire en or. Il faut donc bien lire le contrat.

Il faut également prendre en compte plusieurs choses avant de signer, comme :
– La correction est-elle faite par un professionnel ou seulement par vous ?
– La couverture est faite par vous ou un professionnel ?
– Avez-vous votre mot à dire sur la couverture ?
– La réputation de la maison d’édition (Attention, certaines censures, les mauvais avis.)
– S’il y a des à-valoir ou non. (Une somme donnée en avance qui est remboursée par les droits d’auteurs)
– Si la maison d’édition dispose d’un diffuseur ou non.
– Si la maison d’édition fait de la publicité sur ses livres ou non.
– Si la maison d’édition publie en format papier ou ebook, voir les deux.

Bref, il faut vraiment lire le contrat avant de le valider. Profite aussi de l’occasion pour avoir l’avis une tierce personne.
Il ne faut pas hésiter à marchander ou demander des détails. Certaines personnes ont peur de le faire, en croyant dérangé. Je tiens à dire que c’est votre livre, votre travail, vous avez le droit de donner votre avis et d’être bien renseigné.

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L’édition à compte d’auteur ou contrat participatif

C’est tout le contraire de l’édition à compte d’éditeur, ici la maison d’édition ne prend aucun risque économique. C’est l’auteur qui finance la totalité de l’ouvrage.
Ainsi, la maison d’édition offre un cadre et propose des services supplémentaires payants, comme la correction, la mise en page, la diffusion… Les sommes peuvent aller de 1000 à 5000€ selon le travail à faire sur le livre.
Il arrive que le contrat demande à l’auteur d’acheter un certain nombre de livres, ou d’en vendre sans droit d’auteur pour rembourser « la publication » du livre.

Il est évident qu’il faut fuir ce genre de maison d’édition. Ils profitent souvent des jeunes auteurs, qui épuiser par les refus, acceptent avec enthousiasme de signer un contrat avec eux.
Parfois, ils mentent en disant qu’un comité de lecture a sélectionné votre texte parmi tant d’autres. Pourtant, au vu du nombre de textes publiés, il est connu que ces maisons d’édition, à l’allure d’usine, n’ont pas de tel comité ou qu’il est composé d’une seule personne.
Un autre point négatif concerne le contrat, celui-ci peut vous obliger à donner l’exclusivité de votre livre pour une certaine durée (un ou deux ans). En d’autres termes, si une maison à compte d’éditeur est intéressée par votre manuscrit ou que vous voulez l’auto éditée, vous ne pourrez pas le faire. Car vous n’aurez aucun droit sur votre ouvrage, et le récupérer ne sera pas facile.

Bref, l’édition à compte d’auteur à deux facettes, soit c’est une arnaque, soit une prestation de service. Dans le cas, de prestation de service, vous pouvez travailler avec ces maisons d’édition, si vous n’êtes pas doué pour mettre en valeur votre livre. Mais il faut vraiment faire la différence entre un contrat qui vend des services et un contrat qui prend vos droits sur votre livre.

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L’auto-edition

Cette forme d’édition est la plus récente et elle est de plus en plus populaire. Elle s’est beaucoup développée grâce au livre électronique (ebook) et certaines plateformes comme amazon.
Sous cette forme, l’auteur publie par lui-même son livre en format papier, numérique ou audio. C’est-à-dire qu’il gère lui-même la correction, la mise en page, la publicité, la diffusion… Ou en passant par un intermédiaire. Le livre est souvent publié sur une plateforme ou imprimer chez un imprimeur est vendu via des salons littéraires ou des librairies.
De nos jours, l’auto-édition est de plus en plus professionnalisée. Certaines maisons d’édition vont même jusqu’à regarder ce qui se fait dans le milieu.

Par contre, il faut avoir le dos solide pour s’y mettre et avoir beaucoup de détermination. Publier soi-même son livre est une aventure très difficile. Très peu de gens sont multi-casquette, il faut parfois être vendeur, éditeur, graphique, en plus d’écrivain. Il faut également avoir la patience d’apprendre à utiliser plusieurs logiciels.
Mais à la fin, on est totalement indépendant, sans contrat qui nous bride. De plus, le montant des droits d’auteurs est beaucoup plus avantageux. En effet, certaines plateformes proposent jusqu’à 30% à 70% de droit d’auteur et si vous faites juste un ebook vous n’avez aucun argent à débourser.

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Recette : Plat brise-dent de the legend of zelda breath of the wild

Je me suis toujours demandé quel goût avait la nourriture dans zelda breath of the wild. On y trouve des plats atypiques comme des plats communs. Ils sont parfois salés, ou sucrés.
Pourtant, mon regard s’est posé sur le « Plat brise-dent » qui comme le souligne son nom doit casser nos molaires. Je vous rassure quand même, cette recette ne fera rien à vos dents, car le résultat est plutôt moelleux.

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Pour : 30 de brise-dent

Ingrédient

– 65 g de margarine.
– 160 g de guimauves.
– 60 g de farine.
– 60 g de beurre.
– 60g de sucre en poudre.
– 2c. à soupe de cacao.
– 2 c. à soupe de lait.

Préparation

1/ Préchauffez le four à 180°C.
2/ Dans un récipient, battez le beurre et le sucre.
3/ Ajoutez la farine, le cacao et le lait, puis mélangez.
4/ Placez la pâte sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Puis, enfournez pendant 10 minutes environ.
5/ Sortez le gâteau du four et attendez qu’il refroidisse avant de l’émietter.
6/ Dans une casserole, faites fondre la margarine à feu doux, puis ajoutez les guimauves. Mélangez jusqu’à ce que la préparation soit lisse.
7/ Aussitôt, versez le mélange dans le gâteau émietté et mélangez.
8/ Dans une moule à gâteau recouvert de papier sulfurisé, coulez la pâte uniformément et laissez reposer pendant 30 minutes.
9/ Coupez le gâteau en petits carrés puis façonnez-les en forme de rocher.

Conseil : Si vous voulez donner un effet de reflet argenté à vos rochers, il faut simplement mélanger du sucre glace avec du colorant argenté et utiliser un pinceau pour l’étaler.

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Cette recette est relativement facile et s’adapte à plein de gâteau. Il suffit par exemple de remplacer le biscuit au cacao par un quatre quart à la vanille pour avoir un nouveau goût.

Underclear – page 51 à 58 (Final)

Voici les dernières pages (51 à 58) du chapitre 2 de ma BD Underclear.
C’est donc la fin de cet arc, le chapitre suivant arrivera d’ici quelques semaines. L’histoire est écrite depuis un moment et le story-board est fait. Il ne me reste plus qu’à commencer les premières pages.

Vous pouvez lire les pages précédentes ici :
Underclear-Page 1 à 5
Underclear-Page 6 à 10
Underclear-Page 10 à 15
Underclear-Page 16 à 20
Underclear-Page 21 à 25
Underclear-Page 26 à 30
Underclear – page 31 à 35
Underclear-Page 36 à 40
Underclear-Page 41 à 45
Underclear-Page 46 à 50

Où trouver des schémas pour le Stylo 3D ?

Si vous utilisez un stylo 3D, vous avez sûrement remarqué la difficulté à trouver des schémas, surtout quand vous débutez. Heureusement, il existe sur internet des sites web qui proposent des patrons gratuitement. Il suffit de les télécharger, de les imprimer et de faire chauffer le stylo 3D.

En plus, de mon blog qui propose quelques modèles ici. Vous trouverez ci-dessous une liste de sites qui offrent de nombreux patrons, mais, attention, la plupart sont en anglais. Il est recommandé d’avoir un certain niveau en langue, sinon vous pourriez avoir du mal à vous y retrouver.

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Lestylo3D

Lestylo3D est un site français. Il ne propose pas grand-chose au niveau des patrons, certains sont accompagnés de tutoriel en image. C’est donc un bon site si vous débutez dans l’utilisation du stylo 3D.

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The 3Doodler

The 3Doodler est le site ultime, il comporte une base de données de schéma pour le stylo 3D énorme. Vous pouvez trouver de tout, du débutant à l’amateur, et sur tous les sujets ou saisons (Noël, Pâques, Halloween…). Le site est clair, ainsi que les patrons. Certains PDF fournissent un schéma et un tutoriel illustré, pour vous aider dans votre création. C’est vraiment le site à avoir dans ces favoris.

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3D and print

3D and print est autant en français qu’en anglais. Vous pouvez y choisir la langue. Il n’y a pas beaucoup de schémas comparés à 3Doodler, mais ils sont assez nombreux. Un des seuls défauts serait le manque d’explication sur les patrons, qui doivent être interprétés.

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Colido

Colido est un site entièrement en anglais, mais où il est facile de naviguer. Lui aussi n’a pas beaucoup de schémas, et ils manquent cruellement d’indication. Je ne le conseille pas aux débutants, mais plutôt à ceux qui maîtrisent à peu le stylo 3D. Il reste tout de même une base de données à ne pas manquer.