Voici les résumés des chapitres 317 à 319 de Remarried Empress.
Chapitre 317
La première chose que dit Sissi à Mote, c’est que Mote est une princesse. Sissi regarde l’expression de Mote et comprend qu’elle était déjà au courant. Sissi explique alors que vu le comportement de Sovieshu, il doit beaucoup aimer Mote. Mais elle comprend que son amie ne veut pas reprendre sa place de princesse.
Satisfaite, Sissi explique à Mote qu’elle ne rentre pas chez ses parents adoptifs. Elle voyagera avec une camarade, qui lui ressemble beaucoup. Elle ne va pas également rechercher ses parents biologiques activement.
Après ça, Sissi salue Mote et part. Mote sourit en voyant son amie partir. Elle est sûre qu’elle ira bien. Toutefois, quelques larmes coulent des yeux de Mote, qui se rappelle le bon vieux temps. Elle se calme, puis prend une décision.
Mote va de nouveau voir Lari. Hélas, Lari n’a toujours pas de réponse à lui donner. Mote la rassure, elle n’est pas là pour ça. Mote est ici pour dire au revoir.
Mote a décidé de partir vers l’empire d’Orient pour devenir chevalière. Elle passera le concours non pas en tant que fille de Sovieshu, mais comme simple roturier. Elle cachera son identité.
Lari essaye de lui expliquer que ça sera dur. Mote avoue qu’elle sait qu’elle rencontrera des gens qui seront contre elle. Mais elle veut essayer, sa mère, une esclave, est bien devenue une impératrice. Elle va sûrement y arriver, en se relevant encore et encore.
Lari avoue alors à Mote qu’elle deviendra l’impératrice de l’empire d’Orient. Donc à la fin, ils se reverront. Lari demande même à Mote de devenir capitaines des chevaliers avant son arrivée. Mote relève le défi, disant qu’elle y arrivera.
Mote pose alors maladroitement un genou à terre. Lari tout aussi maladroite fait la cérémonie de chevalier. Ainsi Mote devient le premier chevalier de Lari.
Lari offre ensuite l’épée qu’elle a achetée au marché noir à Mote. Les oreilles rouges, Lari encourage Mote. Mote tout en tenant fermement l’épée, hoche la tête avec un large sourire.
Le lendemain, la famille de Navier, celle de McKenna, Masters et Koshar dînent ensemble. Navier interroge sa fille qui a été silencieusement pendant tout le repas. Elle s’inquiète que Lari soit malade à cause du comportement du jeune dragon.
Lari avoue alors qu’elle cédera le trône de l’empire d’Occident à son frère, vu qu’elle deviendra l’impératrice de l’empire d’Orient. Sous le coup, les yeux de Kai deviennent ronds comme des soucoupes.
Aussitôt, Heinley demande à sa fille pourquoi elle a changé d’avis. Lari explique que son frère est apte à devenir un grand empereur. En plus, elle ne veut pas créer de problème à sa mère en prenant la place de celle-ci. Toutefois, Lari explique qu’elle ne brisera pas ses rêves.
Elle veut devenir l’empereur de tous les pays par ses propres moyens. La conversation terminée Lari mange son dessert.
Pendant ce temps, Yong-Yong est anxieux. Quand, Lari sort de table, il lui court après et lui demande si elle a changé d’avis à cause de lui. Lari dit qu’un seul homme ne peut pas changer ses rêves. Yong-Yong croit alors que Lari à plusieurs hommes. Commence alors une dispute amicalement entre les deux. Mais à la fin, Lari demande au jeune dragon de ce fiancé.
À la fin du repas, Heinley demande conseil à Navier au sujet des paroles de Lari. Navier avoue qu’elle est heureuse de voir sa fille grandir. Mais elle est triste de voir son bébé essayer de quitter le nid si vite.
Heinley, demande alors à Navier de se concentrer plus sur lui, vu qu’elle n’a pas besoin de surveiller les enfants maintenant. Navier refuse, en disant qu’elle doit toujours s’occuper de la coalition et du pays.
Toutefois Navier, avoue que sa priorité numéro un est Heinley et le restera. À cet aveu, Heinley se réjouit et embrasse sa femme. Les deux s’avouent alors mutuellement qu’ils s’aiment.
Chapitre 318
On se retrouve avec une série de chapitres qui présentent Rashta si elle n’avait pas pris les mêmes décisions. Bref c’est un monde alternatif.
Alors que Rashta porte un panier de lessive, elle regarde un portrait irréaliste. Elle se demande ce que pensait le peintre en faisant ce tableau.
D’un coup, Lebetti appelle froidement Rashta. Elle l’accuse d’être dans sa chambre pour essayer de la voler. Rashta s’excuse, disant qu’elle admirait juste la peinture et qu’elle la trouve belle.
Lebetti avertit Rashta et la fait sortir de sa chambre. Rashta proteste derrière la porte et part.
Rashta regarde ses mains pleines de crevasse et de cicatrice. Elle soupire, se disant que la princesse ne doit sûrement pas avoir de blessure à la main. Oui, les personnages de conte de fées vivent juste dans la joie et le bonheur.
Soudainement, Allen interpelle doucement Rashta. Il lui donne alors une boîte de pommade, pour que Rashta soigne ses mains. Rashta le remercie et accepte le cadeau.
Allen s’excuse à la place de sa sœur, disant que celle-ci est fan de l’impératrice, donc elle se met en colère quand ça touche le sujet. Rashta comprend. Elle avoue qu’elle veut voir la princesse (c’est comme ça qu’elle appelle Navier).
En voyant le visage maussade de Rashta, Allen lui demande pourquoi elle aime tant l’impératrice. Rashta répond que c’est parce que l’impératrice est juste. L’impératrice est comme un personnage de conte de fées. Elle doit avoir le cœur large. Ça doit être bien d’être à ses côtes. De recevoir son amour.
Les autres femmes esclaves ont pris la crème à Rashta. Il n’en reste plus. Rashta voudrait dire que c’est le sien, mais elle n’a pas la seule à travailler dur. Donc elle comprend qu’elle doit partager.
Sa pause à peine commencée, Rashta doit repartir travailler.
Rashta entend alors les servantes parler entre elles de la comtesse voisine et des maîtresses de son mari. Elle apprend ainsi que la comtesse n’est pas jalouse et que les maîtresses l’appellent même sœur (d’où le fait que Rashta essayait d’appeler Navier : « sœur »).
C’est l’anniversaire de Rashta, mais elle doit quand même travailler. Elle n’aura pas de félicitation ni de cadeaux.
C’est alors qu’Allen apparaît et offre à Rashta un petit cadre avec une image de l’impératrice. Rashta est folle de joie. Allen explique que c’est une édition limitée et que c’est son cadeau d’anniversaire. Heureuse, Rashta le remercie sincèrement.
Rashta a placé le cadre à côté de son lit. Rashta va souvent voir le portrait en racontant tous ses malheurs au tableau comme si elle parlait à une amie.
Malheureusement, un soir, le cadre disparaît. Rashta le recherche. Puis elle apprend d’une collègue qu’une bonne de Lebetti la prit. Rashta ne comprend pas pourquoi, mais court tout de suite vers la chambre de Lebetti.
En pleure, Rashta supplie Lebetti de lui rendre son image. Lebetti explique que le tableau a été acheté avec l’argent de sa famille, donc c’est à elle. Lebetti insulte Rashta et ferme aussitôt la porte.
Mais Rashta met sa main entre la porte et le cadre criant de douleur. Lebetti lui demande si elle va bien et semble être inquiète. Quand soudain, le père de Lebetti apparaît, demandant ce qu’il se passe.
Bien sûr l’homme ne réfléchit pas et gifle Rashta. Il lui dit de partir et que demain elle n’aura rien a mangé.
Les yeux de Rashta lui font mal tellement elle a pleuré. En plus elle est affamée, elle n’a plus de force. Heureusement, elle n’a pas à travailler quand elle est punie.
Rashta dessine alors un portrait de Navier avec ses doigts sur le mur. Lebetti la surprend et lui demande d’arrêter. Puis, Lebetti explique qu’elle est venue, car elle s’inquiétait de l’état des doigts de Rashta. Mais en voyant que Rashta va bien, Lebetti efface les dessins de colère et part.
Rashta en voyant ça, verse de nouveau des larmes.
Un serviteur qui avait avoué à Rashta vient vers elle. Il lui explique que comme le maître l’aime elle pourrait être une noble dame. Rashta refuse. Mais le serviteur la regarde en disant que vu ses vêtements et son état on dirait qu’elle l’a déjà fait. (Il sous-entend que le maître a déjà couché avec Rashta).
Rashta se retrouve devant un médecin avec la cheville blessée. On se retrouve au moment où Sovieshu a trouvé Rashta pris dans un piège à loups et l’a sauvé.
Sovieshu regarde le bandage de Rashta et demande qu’on appelle la comtesse Eliza. Sovieshu explique que, pour éviter les rumeurs, il confie Rashta à Navier. C’est elle qui prendra soin de la jeune fille.
En entendant le mot « impératrice ». Rashta comprend qu’elle va rencontrer son idole, mais qu’elle a aussi devant elle l’empereur. Il est comme les princes dans les contes de fées.
Soudainement, Navier apparaît. Rashta est sous le choc. Elle a envie de pleurer de joie. Devant elle se présente la personne qu’elle a toujours voulu rencontrer. Rashta se force à ne pas pleurer pour ne pas être détestée par l’impératrice. Elle sourit et se présente à l’impératrice.
Chapitre 319
Pendant que Sovieshu et Navier mangent, l’empereur pose des questions au sujet de la santé de Rashta. Navier le rassure aussitôt, disant qu’elle a été bien traitée par un médecin.
Sovieshu demande alors à Navier d’accepter Rashta comme servante. Navier remarque que Sovieshu est bizarre. Elle lui demande alors pourquoi il était dans un terrain de chasse si éloigné. Sovieshu répond doucement qu’il avait quelque chose à penser. Navier comprend que l’empereur n’en dira pas plus et n’insiste pas.
Alors que le dîner est fini et que Navier part, Sovieshu demande à Navier comment elle va. Navier le rassure. Sovieshu semble déçu par cette réponse et demande à sa femme de ne pas trop travailler. En voyant la réaction de Sovieshu, Navier a envie de le secouer et comprendre à quoi il pense.
Navier joue avec ses femmes de chambre aux échecs. Elle demande alors à la comtesse Élisa comment va Rashta. Celle-ci explique que la jeune fille suit le traitement et va de mieux en mieux. Navier lui demande de demander à Rashta si elle a un endroit où revenir. Si ce n’est pas le cas, elle voudrait faire de Rashta une servante.
Rashta a répondu qu’elle n’avait pas de maison et a demandé à travailler dans le palais. Navier est si occupée qu’elle ne pense plus à Rashta, jusqu’à un fameux jour. Navier voit Rashta se faire gronder par une bonne.
Navier intervint, demandant ce qui se passe. La bonne explique poliment que Rashta a insulté un chevalier. Rashta se défend tristement et dit les gros mots qu’elle a dits.
Navier lui demande alors pourquoi elle a dit ça. Rashta répond que le chevalier la harcelait, disant qu’elle était une femme utilisée puis jeter par l’empereur.
Navier lui répond qu’elle aurait dû dire ça aux autres bonnes, ainsi une plainte aurait été déposée. Rashta répond qu’elle n’aurait rien pu faire, car elle ne sentant pas bien avec ses collègues.
Navier est en colère contre le chevalier arrogant, elle va même enquêter sur son cas. Navier rassure Rashta et lui demande de venir lui parler si un tel événement a de nouveau lieu.
Quelques jours plus tard, Rashta se bat de nouveau, mais avec une servante cette fois. Navier regarde la dispute de loin avec ses femmes de chambre. Elle comprend que les deux femmes parlent d’elle.
En fait, elles complimentent Navier, mais ne sont pas d’accord sur un point. Rashta est sûre que l’impératrice ne va pas aux toilettes. Alors que la bonne dit que si, vu que Navier est humaine.
À la fin, Rashta insulte tellement la bonne que celle-ci rend les arme et fuit. Les femmes de chambre, après avoir assisté à ça, n’arrêtent pas de charrier Navier au sujet des toilettes.
Alors que Navier boit le thé dehors et que Rashta apprend à servir le thé, un oiseau doré apparaît. C’est Heinley, qui bien sûr donne une lettre à Navier. La fameuse première lettre qui créa leur premier échange.
Alors que Navier lit la lettre et répond à celle-ci. Rashta dit qu’elle trouve l’oiseau étrange et tente d’avertir Navier. Puis soudainement, Rashta étrangle l’oiseau, les bonnes l’arrêtent. Rashta est obligée de lâcher l’oiseau qui s’envole sur le coup.
Navier gronde gentiment Rashta. Celle-ci s’excuse.
Au loin, l’oiseau doré prend forme humaine. Mckenna remarque que le visage de Heinley n’est pas bien et lui demande ce qui ne va pas. Heinley explique alors sa mésaventure avec la servante aux cheveux argentés.