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Comment faire le visage d’une peluche ?

Dans une peluche, l’élément le plus important est surement le visage, car il lui donne vie et lui donne une personnalité. Il existe plusieurs méthodes, allant du plus simple au plus compliquer. Voici donc quelques techniques pour réaliser des visages uniques et expressifs.

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La feutrine est un matériau idéal pour réaliser des visages de peluches. Elle est facile à travailler, se décline dans une multitude de couleurs et permet de créer des formes précises. En plus elle n’est pas très chère, parfaite pour les créateurs de peluche occasionnelle.
Il suffit de :
Découpez les formes : À l’aide d’un patron ou à main levée, découpez avec un ciseau les différentes parties du visage (yeux, nez, bouche, sourcils) dans la feutrine.
– Assemblez les pièces : Superposez les pièces et fixez-les à la peluche à l’aide de la colle textile ou d’un point de couture invisible.
– Ajoutez des détails : Pour un rendu plus réaliste, vous pouvez utiliser du fil à broder de couleur contrastante pour dessiner les pupilles, les narines ou les lèvres.

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L’appliqué consiste à coudre ou à coller des morceaux de tissu sur un autre tissu, puis de les lier en les cousant à la main ou avec une machine à coudre. Cette technique n’est pas très chère, mais demande une certaine agilité, surtout si vous utilisez une machine à coudre.
Il suffit de :
– Choisissez les tissus : Utilisez des tissus de différentes textures et couleurs pour créer des contrastes et donner du relief à votre visage.
– Tracez le patron : Dessinez le motif de votre visage sur le tissu et découpez-le aux ciseaux.
– Fixez l’appliqué : Fixez l’appliqué à la peluche à l’aide de colle textile ou une thermocollante.
– Cousez : Cousez les pièces entre elle, avec une machine à coudre ou à la main.

Note : Plus de détails dans cet article : https://www.lescreasderose.fr/comment-realiser-un-applique-a-la-machine-a-coudre/

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L’avantage de la broderie à la main c’est qu’elle offre une infinité de possibilités pour créer des visages détaillés et expressifs. Le plus dur, c’est d’avoir de la technique. Mais broder à la main permet d’avoir des visages plus détaillés et parfois qui dépassent ceux en machine
Il suffit de :
– Choisissez les points de broderie : Selon le style de votre peluche, utilisez des points de broderie différents (point de croix, point de nœud, point arrière, etc.)
– Tracez le motif : Dessinez le motif de votre visage directement sur le tissu de la peluche.
– Brodez : Suivez les lignes tracées et brodez les différentes parties du visage.

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La machine à broder permet de réaliser des visages complexes, mais surtout de faire des visages à la chaine et identiques. Le problème, c’est qu’une bonne brodeuse demande un investissement.
Il suffit de :
– Créez le motif : Utilisez un logiciel de broderie pour créer votre visage.
– Préparez la peluche : Placez le tissu qui servira à faire la tête de votre peluche dans le cerceau de la machine à broder en veillant à ce que le tissu soit bien tendu
– Lancez la broderie : La machine à broder se chargera de broder votre motif automatiquement.

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 Les yeux de sécurité sont une alternative pratique et esthétique aux yeux brodés. L’avantage c’est qu’ils sont disponibles dans une grande variété de tailles, de couleurs et de formes. En plus, ils ne sont pas très chers.
Il suffit de :
Choisissez la taille et la couleur : Sélectionnez des yeux de sécurité adaptés à la taille de votre peluche et à l’expression que vous souhaitez lui donner.
– Fixez les yeux : Insérez la rondelle à l’arrière de la peluche, puis enfilez la tige de l’œil de sécurité. Sécurisez l’ensemble à l’aide d’une deuxième rondelle.

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Patrons des anciennes peluches refaites

Comme vous le savez, j’ai fait quelques patrons payants de peluche. Mais depuis qu’ils sont faits, je trouve la présentation de mes patrons gratuits moche et dépassée. J’ai donc refait tous les PDF des patrons pour vous aider à coudre facilement vos peluches.

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Voici les peluches gratuites qui ont eu droit à une refonte vis-à-vis de leurs fichiers :

Peluche Mimic de Darks souls.
Peluche Happstablook de Undertale.
Peluche de Metroid.
Peluche Among Us.
Peluche calamar de Splatoon.
Peluche Fall Guys.
Peluche Miraculous chat.
Peluche Miraculous Coccinelle.

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Pour obtenir les patrons et faire vos peluches, il suffit d’aller sur la boutique et télécharger gratuitement le PDF ou de cliquer sur le bouton sur l’article de ladite peluche.
Vous trouverez dedans :
– Le patron de la peluche.
– Des astuces pour vous aider à coudre.
– Un résumé de la peluche, du matériel à utiliser et sa difficulté.

Vous aurez tout pour vous aider à créer votre peluche sans difficulté, en plus d’une vidéo explicative sur le post lié à la peluche (catégorie couture)
La seule chose qui vous reste à faire est de coudre et d’admirer votre travail.

Les trois différents types de narration

Quand vous écrivez une histoire, il vous est surement arrivé de vous demander comment narrer. Il faut savoir qu’il existe plusieurs types de narration, mais je vais surtout vous parler des trois principaux.
Voici donc les trois différents types de narration, les plus utilisés dans le monde de la littérature.

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Avant de commencer, il faut savoir faire la différence entre l’auteur et le narrateur.
L’auteur est une personne réelle, c’est celle qui écrit l’histoire. Le narrateur, quant à lui, est une personne fictive qui raconte l’histoire et joue l’intermédiaire entre le récit et le lecteur.

Donc, il faut bien choisir son type de narrateur, car c’est lui qui va fortement influencer votre travail d’écriture.

Il existe de nombreux types de narration, mais je vais surtout vous en présenter trois narrations, qui sont les plus communes, soit :
— La narration à la première personne.
— La narration à la troisième personne alignée sur un seul personnage.
— La narration omnisciente.

Dans cette narration c’est le héros qui raconte sa propre histoire. Le roman est écrit à la première personne du singulier, soit « je ». Le héros raconte seulement les évènements qui se déroulent autour de lui et ses pensées.
Le texte sera teinté des sentiments du héros, mais également de son langage. Une fillette n’aura pas le même vocabulaire qu’un jeune délinquant ou d’une femme d’affaires.

Il y a un vrai débat dans le monde de la littérature, pour savoir si ce type de narration est nécessaire dans un roman. Personnellement, ça dépend de l’histoire que vous voulez créer. Dans le cas d’un roman où il y a beaucoup de monologue et de sentiment, je recommande la narration à la première personne. Mais dans le cas de roman à suspens, avec des intrigues, je conseille un autre type de narration.

Si vous choisissez ce type de narration, n’oubliez pas que vous vous retrouverez dans la tête d’un seul personnage, et qu’il sera limité par ses sens et ses sentiments pour décrire ce qui se passe autour de lui. Il ne pourra pas savoir ce que les autres pensent, mais pourra tenter de le déduire.

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Dans ce cas, l’histoire sera écrite à la troisième personne soit « Il/elle ». Mais de façon similaire à la narration à la première personne, on ne pourra entrer que dans la tête du héros et de personne d’autre.
Vous allez donc toujours raconter l’histoire à travers les yeux et les sens d’un seul personnage, tout en utilisant un narrateur extérieur au récit. Vous ne pourrez révéler que des informations que votre héros sait.

Ce type de narration est très courant. Il est même recommandé de commencer par ce type de narration si vous débutez. Surtout si vous n’êtes pas à l’aise avec le « je ».

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Dans ce type de narration, on raconte le récit à la troisième personne soit « Il/elle », mais cette fois le narrateur peut se permettre d’entrer dans la tête de n’importe qui, n’importe quand. On n’a donc pas les mêmes limites sensorielles.

À première vu ce type de narration semble facile à employer, mais détrompez-vous, c’est très compliqué d’écrire une bonne histoire avec un narrateur omniscient. Car les jeunes écrivains ont tendance à bondir d’un personnage à l’autre pour montrer les pensées de tout le monde en croyant rendre le récit plus clair. Alors que c’est tout le contraire. En entrant dans la tête de tout le monde, on finit par avoir le tournis et ça tue l’intrigue.

Le mieux c’est de faire les changements de point de vue avec parcimonie et d’insérer les transitions appropriées lorsque qu’elles sont nécessaires. De même, il ne faut pas que le lecteur ait toutes les informations dès sa première lecture, vous pouvez laisser des mystères, voir mentir au lecteur selon les différents points de vue des personnages. Un type de narration difficile à maitriser, mais très intéressant.

Si vous débutez en écriture, je vous conseille de faire quelques nouvelles en testant les différents types de narrations, pour savoir lequel vous plait le plus.
Au moment d’écrire votre histoire, il faut également prendre en compte ce que vous désirez raconter, et surtout, comment vous voulez le raconter.
Enfin, il ne faut pas avoir peur de lire d’autre auteur pour explorer et comprendre les différents types de narration.

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Couture à la main vs couture à la machine : choisir la méthode adaptée

En couture, que ce soit pour faire des peluches, du Cosplay ou des accessoires, un choix crucial s’implique. Faut-il mieux préférer la couture à la main ou la couture à la machine ?
Ces deux options présentent ses propres avantages et inconvénients, et le choix de les utiliser dépend de plusieurs facteurs.
Aujourd’hui je vais vous présenter ses deux méthodes de coutures.

La couture à la main est une technique traditionnelle et ancestrale qui offre une précision et une flexibilité inégalées. Elle permet de réaliser des points délicats et des finitions raffinées, ce qui la rend idéale pour la confection de pièces uniques et sur-mesure. De plus, la couture à la main ne nécessite aucun matériel spécifique, si ce n’est des aiguilles, du fil et du tissu.

–   Personnalisation et précision : La couture à la main permet de réaliser des points précis et adaptés à chaque type de tissu et de forme.
Flexibilité : Sans être limitée par la taille ou la forme d’une machine, la couture manuelle permet d’accéder à des zones difficiles à atteindre ou faire des petites pièces.
Contrôle total : La couture permet d’avoir un contrôle total sur chaque point de couture, ce qui garantit un résultat impeccable.
Esthétique raffinée : Les points à la main apportent une touche de raffinement et d’authenticité aux créations.
Portable et silencieuse : La couture à la main peut être pratiquée n’importe où et à n’importe quel moment, sans déranger son entourage.
Activité relaxante: La couture à la main est une activité apaisante et méditative qui favorise la concentration et la créativité.
Pas besoin d’équipement coûteux : Tout ce dont on a besoin, c’est d’une aiguille, d’un fil et de tissus.

Temps et patience : La couture à la main est un processus lent qui demande de la patience et de la minutie.
Limites en termes de quantité : Il est difficile de réaliser de grandes quantités.
Nécessite des compétences : Obtenir une belle finition à la main requiert de la pratique et de la technique. Les points doivent être réguliers et égaux pour assurer la solidité et l’esthétique de l’ouvrage.

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La révolution industrielle au 19ème siècle a vu l’apparition des premières machines à coudre. Ces machines, initialement conçues pour accroître la production et répondre à la demande croissante de vêtements, ont transformé l’industrie de la couture.
Ainsi la couture à la machine est une méthode rapide et efficace pour la réalisation de projets de couture de toutes tailles. Elle offre un gain de temps considérable et permet de réaliser des coutures solides et uniformes. De plus, les machines à coudre proposent une multitude de points et de fonctions qui facilitent la création.

Rapidité et efficacité : La machine à coudre permet de réaliser des projets de couture beaucoup plus rapidement qu’à la main
Solidité des coutures : Les coutures à la machine sont généralement plus solides et résistantes que les coutures à la main.
Polyvalence : Les machines à coudre offrent une grande variété de points et de fonctions pour des créations variées et complexes. Elle permet ainsi de réaliser différents projets que ce soit une broderie, un ourlet ou une boutonnière…
Gain de temps et d’énergie,: La machine à coudre prend en charge le travail manuel, ce qui permet de gagner du temps et de l’énergie.
Gestion de divers tissus : Avec les bons réglages et aiguilles, la machine à coudre peut gérer une multitude de matériaux facilement.

Coût initial : L’achat d’une machine à coudre représente un certain  investissement, surtout si vous en voulez une avec certains point ou capacité.
Entretien : Les machines nécessitent une maintenance régulière pour fonctionner à leur meilleur niveau, incluant le nettoyage, l’huilage et parfois des réparations.
Apprentissage nécessaire : Même si elle est rapidité et efficacité, maitriser une machine à coudre demande une période d’adaptation pour maîtriser toutes les fonctionnalités, surtout pour les modèles avancés.
Moins de flexibilité : La machine à coudre peut être limitée dans la réalisation de certains points délicats, de finitions complexes ou de petites pièces.
Bruit : Les machines à coudre peuvent être bruyantes et déranger l’entourage.

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Le choix entre la couture à la main et la couture à la machine dépend de plusieurs facteurs, soit :

Le type de projet : Pour des pièces uniques et raffinées, la couture à la main est privilégiée. Pour des projets de grande taille ou nécessitant une rapidité d’exécution, la machine à coudre est plus adaptée.
Le tissu utilisé : Certains tissus délicats ou épais peuvent nécessiter une couture à la main pour un meilleur résultat.
Le niveau de compétence : La couture à la main demande une certaine maîtrise des points de couture, tandis que la machine peut être utilisée avec un niveau de base de connaissance.
Les détails et finitions : Si vous cherchez à faire des motifs brodés complexes ou des détails précis, il faut mieux vous orienter vers la couture à la main.
Les objectifs personnels : Si vous cherchez la détente et un résultat unique, la couture à la main est idéale. Pour un projet rapidité et efficace la machine à coudre est plus adaptée.

Sachez que la couture à la main et la couture à la machine ne sont pas en concurrence, mais plutôt deux techniques complémentaires qui répondent à des besoins différents. Ainsi il arrive que, dans un projet, il faille passer d’une méthode à l’autre.

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Comment faire des dialogues efficaces ?

À l’écriture de son livre, peu importe son genre, il y aura inévitablement des dialogues. Donc il est très important que ces interactions entre personnages soit intéressent et apporte quelque chose à votre roman.
Voici donc comment faire des dialogues efficaces.

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C’est le genre de dialogue qu’il y a au début d’un roman ou pour présenter un personnage. En soi c’est quand un personnage dit à un autre personnage quelque chose qu’il sait déjà. C’est seulement au profit du lecteur et ce n’est pas naturel. 
Par exemple : – Chris, tu es un jeune homme de 20 ans et étudiant, il est temps que tu évolues.
Il faut mieux les remplacer par des actions ou des descriptions qui révèlent subtilement l’information au lecteur.

Il faut vraiment éviter les conversations avec du vocabulaire trop soutenu ou avec des mots longs, alors qu’un mot court suffit. Même si votre personnage est quelqu’un d’intelligent et qui utilise une grammaire parfaite, le lecteur trouvera ça gênant. Dans la vraie vie personnage ne parle pas comme ça.
Privilégiez un langage naturel et courant, adapté au contexte et au profil du personnage. Même un personnage intelligent n’utilisera pas un vocabulaire alambiqué dans toutes les situations.

Le seul contexte où le dialogue soutenu est autorisé, c’est peut-être dans un roman historique ou pour un personnage maniant l’art de la rhétorique.

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Ce sont des dialogues qui affirment une geste ou une action, comme :
 Il secoue sa tête de gauche à droite. « Non. »
C’est très ennuyeux quand un personnage explique à voix haute ce qu’il est en train de faire à un autre.

Les incises servent à préciser au lecteur qui parle ainsi que le ton employé. Elles ne doivent pas être utilisées à outrance. Normalement si vous avez bien défini le caractère de votre personnage, vous ne devrez pas en avoir beaucoup besoin.
Donc, pas besoin d’en utiliser à chaque fin de phrase au risque d’alourdir le rythme de la lecture. Toutefois elles sont essentielles pour ponctuer et baliser le dialogue de temps en temps.
Évitez aussi de trop utiliser des verbes faibles comme dire. Privilégiez des verbes d’action expressifs comme : interroger, exclamer, crier, bafouiller, murmurer.

Une des grosses erreurs dans les dialogues c’est de ne pas dire clairement qui parle. Surtout s’il y a plusieurs personnages. N’obligez jamais vos lecteurs à revenir en arrière et à compter les tirets pour deviner qui a dit quoi.
Donnez des indices à votre lecteur pour savoir qui parle. Par exemple si vous avez un personnage blond, faites une ligne pour dire qu’il remet ses mèches blondes derrière son oreille lors de sa prise de paroles.

Une adresse directe, c’est quand on appelle une personne par son nom ou par son titre lors d’un dialogue.
Par exemple :
“Maman, est-ce que tu pourrais me passer le sel ?”
“Bien sûr, Sophie.” Elle se tourne vers Thomas. “Thomas, j’ai entendu que tu avais eu une mauvaise note.”
“Oui, Maman. J’ai eu 8 en mathématique.”

Personne ne parle comme ça dans la vraie vie. Ce n’est pas interdit d’utiliser l’adresse directe, mais c’est mieux dans les cas de grande émotion, comme une dispute ou dans l’urgence.

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C’est ennuyant quand un personnage parle longtemps, sans interruption. Qui n’a jamais soufflé du nez quand un méchant faisait son monologue ?
En plus d’être interminable, il stoppe l’action et ça peut rendre votre personnage détestable (sauf si c’est recherché).
Il faut donc interrompre le discours avec des gestes, des actions d’autres personnages, ou du dialogue interne du point de vue du personnage. 

Lors d’un dialogue personnage ne regarde l’autre dans les yeux sans bouger. Dans la vie quotidienne nous discutant en faisant la vaisselle, en mangeant, en travaillant. Même lors d’une dispute ont faites des gestes.
Il est donc important d’enrichir  vos dialogues en mettant vos personnages en scène.
– « Pierre serra les poings. ‘Je ne te crois pas ! Tu me trahis depuis le début ?’
– Marie baissa la tête, des larmes coulant sur ses joues. »

Pour écrire un bon dialogue, il suffit parfois de le relire à voix haute. C’est un excellent moyen de détecter les phrases qui sonnent mal ou qui manquent de naturel. En plus, le faire peut vous permettre de vous débloquer lors d’une scène de dialogue qui vous donne du fil à retordre.
N’hésitez pas à faire lire vos dialogues à un tiers pour obtenir un avis objectif.

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