Depuis une année, je me suis découvert une passion pour un type d’art qui mélange plusieurs techniques, comme la sculpture, la peinture, le modelage. Il est écologique et tout le monde peut en faire, je parle bien sur du Papier mâché.
Le papier mâché, c’est quoi ?
Le « papier mâché » est un matériau composite, léger et malléable, obtenu en assemblant des morceaux de papier (journaux, magazines, serviettes en papier…) avec un liant, généralement de la colle. Une fois sec, il devient solide et peut être peint, décoré et modelé à volonté. Le papier mâché est nos jours associés aux travaux manuels scolaires. Pourtant de sa création en Chine jusqu’à l’apparition de la matière plastique, le papier mâché fut reconnu comme de l’art. Il vient d’origine de Chine, lors du deuxième siècle, ou il était utilisé pour confection de casques de guerre, laqués pour les renforcer. C’est au cours des siècles qui suivirent que cette méthode de papier laqué fit son chemin, tout d’abord en Orient, puis en Perse, dans les pays arabes, et enfin dans les pays occidentaux. Ces derniers améliorèrent les techniques en vue de fabrication d’objets divers, de la tabatière, aux meubles, en passant par la confection de poupées. C’est le XIXe siècle qui fut l’apogée du papier mâché qui décorait certaines demeures de noble et riche marchand. Aujourd’hui, seuls quelques pays comme la Russie, l’Inde, le Cachemire et les masques de Venise continuent à fabriquer des boîtes en papier mâché.
La recette du papier mâché
Le papier mâché à différente recette, mais la plus connu pour faire une pâte est celle-ci :
Ingrédients
– 500 g de papier journaux, boite d’œuf… – 250 g de colle blanche. – 12 cl d’eau (ajuster selon la consistance souhaitée)
Préparation
1/ Dans un grand saladier, déchirez le papier en petits morceaux. 2/ Versez l’eau chaude sur le papier, laissez le refroidir pendant 1 heure. 3/ Mixez le papier avec un mixeur, puis passez le au chinois pour retirer l’eau. 4/ Remettez le papier sec dans le saladier vidé d’eau. Ajoutez la colle et un peu d’eau. Mélangez. 5/ Vous aurez une pâte avec lequel sculpter. 6/ Laissez sécher à l’air libre. Votre papier mâché est sec quand il devient très solide. Vous pouvez le poncer, le peindre à votre guise.
Que peut-on faire avec du papier mâché ?
Le papier mâché est une matière polyvalente, elle permet de créer une multitude d’objets, aussi bien décoratifs qu’utiles. Voici quelques exemples :
– Sculptures : animaux, personnages, objets abstraits… – Masques/Costumes : pour une fête, une pièce de théâtre, ou du cosplay… – Boîtes et paniers : pour ranger vos petits objets. – Décorations murales : cadres photo, miroirs… – Objets utilitaires : bols, assiettes, socle…
Depuis peu je me suis mis comme objectif d’apprendre l’aquarelle. Pour ceux qui ne le savent pas, l’aquarelle est une peinture qui s’utilise avec de l’eau, permettant de superposer les couches et mélanger les couleurs. Ça demande une certaine maitrise de l’eau. J’ai toujours voulu apprendre cette peinture, car elle est délicate et lumineuse. Le problème, c’est que j’ai essayé plusieurs fois sans trop grand résultat.
Sauf que cette année j’ai décidé d’être sérieuse dans mon apprentissage, avec, comme objectif de remplir un cahier entier d’exercice avant la fin de l’année. Les premières pages ont été difficiles, puis je me suis prise au jeu. Je me suis mise à aimer l’aquarelle et ne pas avoir véritablement le contrôle. C’est assez relaxant.
D’ailleurs, si vous voulez vous mettre à l’aquarelle, je vous conseille ces chaines YouTube, qui m’ont beaucoup aidée :
Bref, le carnet a été rempli en 2 mois. J’ai alors eu une idéé.
Le défi Pokémon
Vous avez surement déjà entendu cette phrase « il faut forger pour être forgerons », dans l’art c’est le même cas. Mais ayant fait tous les exercices de ma connaissance, je ne trouvais plus rien pour mon niveau. Je suis intermédiaire, plus une débutante, et de très loin une experte. Donc il faut que je trouve quelque chose à peindre.
J’ai alors eu une idée : faire des Pokémon. Pas n’importe lequel la génération que j’adore, celle d’Or et Argent. Je suis donc en route pour faire 100 Pokémons en aquarelle. Vous pouvez suivre l’évolution de mon exercice sur Instagram, mais surtout Tiktok. Si vous voulez me suivre dans mon délire, n’hésitez pas à faire le même exercice. À bientôt.
Grâce à l’arriver d’internet, beaucoup de pâtissiers ont démontré leur art en créant des gâteaux de plus en plus beau visuellement, et spectaculaire. C’est le qu’à avec les Gravity Cake, qui sont là pour être savoureux et faire un effet wouah.
Note : Les images viennent de Pinterest, je vous conseille d’aller sur ce réseau social pour voir les auteurs de ses gâteaux et leurs œuvres culinaires.
C’est quoi un Gravity Cake ?
En résumé, le Gravity cake est un gâteau sur lequel on fait suspendre dans les airs, comme par magie, un autre élément. Ça peut être des bonbons, une tasse de thé, un liquide. Le gâteau semble pris dans un tableau, tout en donnant un effet de mouvement. Le Gravity cake est si impressionnant, visuellement, que l’on vient à ce demander comment il tient. Au même titre que le Cake-design, le Gravity cake est un art comestible, en bref, c’est de la pâtisserie artistique. Qui demande d’utiliser son imagination et ces capacités.
D’où vient le Gravity cake ?
L’origine exacte du Gravity cake n’est pas vraiment connue avec certitude. Cependant, il y a quelques indices qui nous permettent de retracer son histoire. Ainsi, ce serait en 2016 que la mention de « gâteau suspendu » ou « Gravity cake » apparaît pour la première fois sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram et Pinterest. Une année plus tard, la popularité du Gravity Cake explose complètement grâce à des publications virales sur des sites web culinaires. Ce serait d’ailleurs Cindy Wang, une pâtissière américaine qui aurait popularisé le Gravity cake avec ses créations originales et ses tutoriels vidéo. À ce jour, certains pensent que le Gravity cake s’inspire à l’origine d’une technique japonaise appelée « nagashi somen », où des nouilles fines sont disposées en cascade sur un plateau en bambou. Mais ça reste encore à prouver.
Comment réaliser un Gravity Cake ?
Le Gravity cake repose sur une technique pas si compliquer au premier abord, mais qui demande beaucoup de patience. En faites, il suffit de planter une pique à brochette dans la base du gâteau et de l’entourer d’une paille. Ensuite, on n’a plus qu’à recouvrir la paille de chocolat fondu et de coller les bonbons dessus ou d’autre objet. Vous pouvez bien sûr décliner le concept avec d’autres ingrédients comme la pâte à sucre. Seule contrainte, il faut que la matière soit suffisamment malléable pour prendre la forme voulue et qu’elle durcisse ensuite pour donner de la structure à la création. Mais attention plus le Gravity Cake est complexe et l’objet suspendu est lourd plus l’armature devra être solide. Si vous cherchez à suspendre un autre gâteau au-dessus d’un autre, il faudra des tiges en métal au lieu d’un pique de bois. Sinon, il existe es structuré déjà toute faite et en vente sur internet pour vous permettre de faire des Gravity Cake sans avoir un diplôme d’ingénieur en poche.
En résumé, il faut : — Un gâteau : Il sert de base et il sera la partie manger par vous et vos invités. — Une armature : Une armature garantira la stabilité de votre Gravity Cake. Plus l’objet suspendu est lourd plus elle devra être solide. — Un coulis : En chocolat, pâte à sucre, il fera le liant entre le gâteau et l’objet suspendu. Il recouvre toute l’armature. Il peut être décoré de bonbon. — L’objet suspendu : ça peut être un simple sachet en papier d’où tombe le coulis, un objet comme une tasse ou bien plus gros comme un autre gâteau.
Comment conserver un gâteau de type Gravity Cake ?
Il est tout à fait possible de conserver un Gravity Cake dans un environnement frais et non au réfrigérateur du moins s’il n’a pas d’élément fragile, comme la crème chantilly. Toutefois, une exposition prolongée à l’air pourrait abîmer le gâteau. Évitez une exposition à la lumière du soleil ou à proximité d’une source de chaleur ou d’humidité. Un endroit à l’abri de la lumière comme une cave ou un sellier est préférable. Mais un réfrigérateur reste la meilleure solution. Vous pourrez le garder pendant 2 à 3 jours avant de le servir. Lors d’un événement, il faut mieux le présenter une demi-heure avant la découpe. Pour que les invités puissent le regarder et que la chaleur environnante ne l’abîme pas.
Si vous êtes allé au moins une fois dans une convention mangas, vous avez au moins vu une fois une personne déguiser en son personnage préféré. Vous vous êtes même posé des questions au sujet du Cosplay qui prend une place de plus en plus grande dans le monde de la pop culture, du manga, du cinéma et des romans. Voici tous les détails au sujet du Cosplay de sa création à aujourd’hui.
L’origine du Cosplay
Aussi étonnant que cela paraisse, le premier Cosplayeur ne vient pas du Japon, mais d’Amérique. Le premier Cosplayeur est apparu en 1939 lors de la World Science Fiction Convention (Worldcon), une convention sur la science-fiction. Un homme nommé, Forrest J Ackerman serait venu déguiser en homme du futur.
Mais c’est dans les années 70 à 80 que le Cosplay connaitra son paroxysme aux États-Unis grâce à Star Trek et Star Wars. Les nombreux fans de ces univers rendront hommage à leurs héros préfères lors des conventions ou festivals. Il y aura même le premier concours de Cosplay appellé la « Masquerade » qui réunira des Cosplayeurs de plus en plus nombreux au fils des années.
Le Cosplay arrive au Japon
Sachez que même si le Cosplay est né en Amérique, le terme Cosplay est quant à lui japonais. Il s’agit d’un mot associant « costume » et « playing » qui signifier : un loisir qui consiste à reproduire ou à porter le costume d’un personnage issu de la pop-culture et d’en adopter l’attitude en imitant ses poses. C’est ailleurs lors d’une des conventions en Amérique qu’un journaliste japonais inventera le terme Cosplay.
Le Japon découvre le Cosplay au début des années 80 et ce loisir prendra une dimension incroyable. Les Japonais adorent et adhérent rapidement au phénomène. Contrairement aux Américains, les Japonnais font bien plus loin, ils se déguisent en personnages de mangas, de comics et même de jeux vidéo. Tokyo est connu pour être le centre névralgique japonais du Cosplay. Les quartiers d’Harajuku et Shinjuku sont les plus populaires. Pour les Japonais, le Cosplay c’est de l’art, voire un métier pour certains. Donc il est important pour eux que leurs costumes soient réalisés entièrement à la main. Le mimétisme dans la tenue et dans les postures est le but ultime. Ils doivent devenir le personnage qu’ils incarnent.
L’Europe découvre le Cosplay
Le Cosplay arrive plus tard en Europe, surtout en France en Allemagne et en Italie vers fin 90 et début 2000. Les Cosplayeurs européens sont aussi minutieux que les Japonais préférant créer eux-mêmes leurs costumes et en prenant soin d’être le plus fidèle possible à l’œuvre originale. Les premiers concours de Cosplay font rapidement leurs apparitions. Où, il est demandé aux Cosplayeurs de monter sur scène pour présenter leurs créations et une performance scénique. Celle-ci peut prendre plusieurs formes telles que la reproduction d’une scène de l’œuvre originale, la création de scènes inédites ou encore de scènes parodiques et humoristiques.
De nos jours
Aujourd’hui, le Cosplay est un loisir qui se pratique dans le monde entier et dont chaque pays a ses spécificités. Il s’agit d’un évènement incontournable dans les salons, il peut se faire seul ou en groupe, pour le plaisir ou la compétition, qu’il soit acheté ou fait main.
Il a un tel succès, qu’en 2003, l’Allemagne, la France, l’Italie et le Japon sont invités à participer à la première édition du « World Cosplay Summit » à Nagoya. Ce concours deviendra plus tard la plus grande compétition de Cosplay au monde avec la participation de plus de 40 pays. Le concours consiste à envoyer un binôme chargé de représenter son pays et concourir pour le titre de meilleurs Cosplayeur. Sachez que la France a remporté le précieux titre de champion en 2007.
En plus des concours, il existe d’autres variantes du Cosplay, comme le zombie walk, initié en 2005 aux États-Unis. Le but est de se déguiser en mort-vivant et déambuler dans les rues. Le phénomène est tel qu’il est devenu mondial. Là encore le costume se transforme en véritable œuvre d’art avec plusieurs tendances qui se dessinent : le style militaire, la médecine, les costumes inspirés de certains films ou séries, ou encore le détournement de personnages de fiction en mode zombie.
Le Cosplay évolué s’en cesse grâce aux nouvelles technologies. L’imprimante 3D fait partie des machines qui ont permis de créer des costumes de plus en plus sophistiqués. Certains vont même jusqu’à inclure de l’électronique dans leurs Cosplay. Bref, le Cosplay est devenu un art, un loisir, un plaisir. Mais surtout il réunit des passionnés qu’ils soient débutants ou professionnels.
Tout le monde connaît les traditionnelles tartes, cakes, ou galettes… Mais connaissez-vous les cakes-design, ces fameux gâteaux hauts en couleur qui font fureur lors des fêtes ou sur les réseaux sociaux. Ce gâteau très à la mode n’est pourtant pas si jeune, il a également une longue histoire. Je vous laisse la découvrir.
C’est quoi, un cake-design ?
Le cake design aussi appelé cake decorating est un art culinaire du domaine de la pâtisserie consistant à réaliser des gâteaux de plusieurs étages exceptionnels. Ils peuvent être décorés, moulés ou encore sculptés à l’aide des intrants comme le fondant, la pâte à sucre ou le glaçage. Ainsi ces gâteaux peuvent revêtir la forme d’un lieu, d’un objet, ou d’une occasion particulière. En bref, le cake design est un art comestible. C’est de la pâtisserie artistique. C’est donc une reproduction intégrale de l’imaginaire qui suscite des envies demandant beaucoup d’inventivité aux pâtissiers.
D’où ça vient ?
Sachez que le cake design est à l’origine un art français. En effet, le précurseur en la matière s’appelle Marie-Antoine Carême, appelé également Antonin Carême ou encore « le roi des chefs et le chef des rois ». Ce chef pâtissier est né le 8 juin 1784 à Paris. Il est le premier à porter l’appellation, tant connu dans le monde culinaire, de « chef ». Antonin Carême vient d’une fratrie de 14 enfants, il est abandonné à l’âge de 8 ans par ses parents, en 1792, pendant la Révolution française. Il trouve refuge auprès d’un cabaretier où il travaille comme garçon de cuisine en échange d’un toit.
Naturellement doué, Antonin se fait rapidement remarquer et entre, à 13 ans, comme apprenti auprès du célèbre pâtissier Sylvain Bailly. Son ascension sera rapide, car à 17 ans, il devient « premier tourier »., puis il ouvrira sa première boutique, la Pâtisserie de la rue de la Paix. Rapidement, il devient célèbre pour ses magnifiques pièces montées, qui étaient alors utilisées comme centre de table chez des riches aristocrates. Ces gâteaux étaient entièrement en sucre, en pâte d’amande et en pâtisserie. Elles s’inspiraient notamment des pyramides et temples antiques. Antonin Carêm étudie d’ailleurs l’architecture et dessinait ses créations selon les modèles qu’il aimait le plus. Grâce à ça, on lui confie la confection des pièces montées des tables du Premier Consul et de Talleyrand. Ses inventions de gros nougats et de grosses meringues à base d’amandes et de miel et ses compositions lui valent un grand succès dans toutes les cours européennes.
Grâce à Antonin Carême, l’art culinaire du Cake Design s’élève au rang de science. Mais également, grâce aux moules à gâteaux qui font leur apparition dans les cuisines d’Europe du nord-est. Toutefois, ces gâteaux, contrairement à aujourd’hui, étaient surtout utilisés comme éléments décoratifs. Il faudra attendre 1840, lors de l’arrivée du four à thermostat, pour que le cake design se vulgarise un peu. Car, le four permettra de faire des gâteaux plus facilement. C’est dans l’Illinois, que le cake design à l’américaine apparaît grâce aux frères Wilton qui fondent la Wilton Enterprise en 1929. Ils proposaient des cours de cake decorating, qui connurent un énorme succès auprès de professionnels comme des particuliers. Au même moment, c’est l’émergence du glaçage à l’américaine, le fameux « butter-cream icing » aussi connut comme la fameuse « crème au beurre ». Quelques années plus tard, un américain Joseph Lambeth profitera de l’engouement pour écrire un livre référence en matière de cake decorating. Ce qui va populariser cet art.
C’est par ce biais que le cake design a fait son grand retour en France. Toutefois cet art est surtout exercé par des particuliers, car les pâtissiers professionnels restent attachés aux pâtisseries traditionnelles. C’est pourquoi on voit apparaître un nouveau métier : Le cake designer. Ces pâtissiers et passionnés sont capables de réaliser un gâteau unique selon les rêves du client.
Les règles à suivre pour faire un cake-design
Il faut savoir qu’il existe quatre règles à respecter pour faire un bon cake design. Il faut donc : — Un gâteau moelleux : Celui-ci doit être à la fois aéré et bien se tenir pour supporter le poids des décorations. C’est le cas, de la génoise, du molly cake, du sponge cake… — Une garniture adaptée : Celle-ci doit être légère et stable tout en étant hors du réfrigérateur. Car vous allez passer du temps à décorer votre gâteau et parce qu’il va être exposé avant d’être dégusté. — Un montage structuré : Un montage réussi garantira la stabilité de votre gâteau. Il faut donc utiliser une ganache, qui va emprisonner la garniture à l’intérieur de votre gâteau. — Un lissage réussi : Pour un lissage parfait, il faut mieux utiliser une ganache de couverture qui permettra la pose d’une couche de pâte à sucre sans prise de tête.
Comment conserver un gâteau de type cake-design ?
Il est tout à fait possible de conserver un cake design dans un environnement frais et non au réfrigérateur vu les matières utilisées. Mais, une exposition prolongée à l’air pourrait sécher et abîmer le gâteau. Si vous voulez le conserver pendant plus de 24 heures, il est recommandé de l’emballer avec un film alimentaire. Par ailleurs, évitez une exposition à la lumière du soleil ou à proximité d’une source de chaleur ou d’humidité. Un endroit à l’abri de la lumière comme une cave ou un sellier est préférable. Lors d’un événement, il faut mieux le présenter une demi-heure avant la découpe. Pour que les invités puissent le regarder et que la chaleur environnante ne l’abîme pas.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Cookies strictement nécessaires
Cette option doit être activée à tout moment afin que nous puissions enregistrer vos préférences pour les réglages de cookie.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.