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Peluche citrouille – Explication en vidéo

Bonjour tout le monde.
Oui, je sais. Nous ne sommes ni pendant Halloween ni en automne. Pourtant je vais vous apprendre à faire des peluches en forme de citrouille avec des chaussettes.
Ce DIY est assez vieux, mais j’ai décidé de le mettre en avant. Surtout, que l’été arrive. C’est bientôt les grandes vacances, c’est donc le bon moment pour faire du bricolage créatif.
J’ai mis à cette petite création une note de 1/10 en niveau de difficulté. C’est vraiment simple. Vous pouvez le faire avec des enfants sans problème. L’avantage de ce DIY, c’est que vous pouvez faire une citrouille de n’importe quelles couleurs ou tailles. Vous pouvez personnaliser les visages avec de la feutrine ou ne rien mettre. Bien sûr, il ne faut pas hésiter à rendre le tout plus glamour, avec des paillettes, des perles ou des strass. Une citrouille, chic et classe, peut très bien décorer vos étagères.

Vous trouverez toute l’explication dans cette vidéo.
Bonne journée.

Présentation : le stylo 3D

Le domaine artistique ne cesse d’évoluer, grâce à la technologie de nouvelles formes d’art apparaissent alors que nous ne pouvions pas l’imaginer avant ça.
Je vais vous présenter une nouvelle façon de dessiner en trois dimensions. Je parle, bien sûr, du : Stylo 3D.
 

Qu’est-ce que c’est un stylo 3D

Un stylo 3D est un outil qui a la forme d’un simple stylo, sauf que sa taille est bien plus grande. Il permet de dessiner et d’écrire en 3 dimensions. Son mode de fonctionnement est identique à celui des imprimantes 3D, à la différence, qu’il faut juste utiliser sa main pour imprimer une création, au lieu d’utiliser d’une énorme machine.

Il existe deux types de technologies utilisées dans le stylo 3D, soit :
La technologie FDM : Elle contient un système chauffant permettant de faire fondre des filaments plastifiés. Quand celui-ci sort de l’embout, il se refroidit instantanément et se fige dans la forme voulue.
La technologie SLA (Stéréolithographie Apparatus) : Elle contient une LED à Ultraviolets qui durcit la résine photosensible qui est sous forme d’encre.

À ce jour, il existe deux types de filaments compatibles avec la technologie FDM :
Les filaments type ABS : Il est fait à partir de pétrole, il refroidit vite et il peut être travaillé à partir de 230C°. Il est surtout utilisé pour dessiner directement dans les airs et créer des structures souples.
Les filaments type PLA : Il est fait majoritairement d’amidon, il ne refroidit pas aussi vite que l’ABS et il peut être travaillé à partir de 180C°. Il est surtout utilisé pour faire des dessins translucides ou décorer différents supports.

Note : plus de détail sur les filaments dans un autre article.

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Comment ça marche ?

Avant de commencer, il faut absolument des filaments ou les encres compatibles avec le stylo 3D. Certains stylos acceptent que les filaments ABS ou Pla, dans des cas rares, il existe des stylos 3D qui peuvent accepter les deux.
La méthode d’utilisation d’un stylo 3D change par rapport à son modèle, donc il ne faut pas hésiter à lire le manuel. Ça vous évitera de bloquer le filament ou de casser l’appareil à cause d’une mauvaise manipulation.
En principe dès que la température est atteinte et que votre filament est introduit dans votre stylo 3D vous pouvez tout de suite dessiner. Vous pouvez utiliser comme support du papier tout simple. Mais, personnellement, je trouve que le papier pour plastifier donne un meilleur résultat que les autres supports. Il ne colle pas, il permet de voir les schémas grâce à sa transparence et il maintient bien la création en place, en plus, il ne fond pas à cause de la chaleur du filament.

Vidéo

Cette vidéo présente plus en détail le stylo 3D, ainsi que son mode de fonctionnement.

Les différents types de stylos 3D

Il existe différents types et marques de stylos 3D, mais on peut les rentrer dans deux catégories, soit :

Les stylos 3D basiques :
Ces stylos ne disposent pas beaucoup de fonctions. Ils sont peu chers entre 20 et 50 euros. Leurs filaments sont facilement trouvables sur internet ou les magasins de grandes surfaces. Très bien pour les débutants, qui ne savent pas si cet outil va leur plaire ou non.

Les stylos 3D professionnels :
Ces stylos ont beaucoup de fonction et d’accessoires. Ils sont assez chers, ils peuvent aller de 100 à 300 euros selon le modèle. Leurs filaments ou encres sont souvent uniques à la marque de l’appareil. Ils sont donc chers, mais de bonne qualité. Par contre, on les trouve que dans les magasins de la marque ou des boutiques professionnels.
Il est conseillé d’investir dans ce type de Stylo 3D seulement si on a déjà manipulé cet outil et qu’on veut l’utiliser dans un cadre artistique et professionnel.

Comme vous le voyez, lors de la sélection d’un stylo 3D, il faut toujours prendre en compte plusieurs points :
– Si les paramètres de vitesse et de température sont réglables.
– Le genre de filament ou d’encre utilisé.
– Le coût du stylo et des filaments/encres.

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Où l’utiliser ?

Le stylo 3D est souvent commercialisé comme un outil artistique. Mais il peut aussi servir pour réparer ou décorer différents supports.
Il peut également être utilisé en complément avec d’autres matériaux comme la pâte polymère ou la résine.
Vous l’aurez compris, le stylo n’est pas d’un outil de dessin, il est bien plus puissant. On peut par exemple créer plusieurs pièces et les souder ensemble pour façonner un plus grand modèle comme des maquettes.
On peut aussi s’en servir pour créer des ornements, des bijoux ou personnaliser des objets. Vous pouvez utiliser le stylo 3D en scrapbooking ou en peinture. Mieux, encore, vous pouvez faire vos propres outils avec, comme des pochoirs ou des emporte-pièce.
Certes, il vous faudra du temps pour bien maîtriser la bête, mais ça vaut vraiment le coup, quand on voit ce qu’on peut faire avec. Votre allié dans l’histoire sera votre patience.

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Précaution

Il n’y a pas de grande précaution à prendre avec le stylo 3D. Il existe un risque de brûlure seulement si vous touchez l’embout de l’appareil (la buse). Dans le cas des enfants, je vous conseille d’acheter un stylo 3D fait spécialement pour eux. Ces stylos 3D sont composés avec une technologie qui évite ce désagrément.
L’autre problème est l’odeur. Certaines personnes ne supportent pas odeur dégagée par les filaments du type ABS. Dans ce cas, il faut mieux acheter un stylo 3D qui utilise les filaments PLA qui émanent une odeur sucrée. Sinon, vous pouvez toujours aérer votre pièce.

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Conclusion

Les « + »
La créativité : Avec un stylo 3D, on peut créer des objets en 3D à main levée et l’utiliser en complément avec d’autres matériaux. En plus, il est portatif.
La facilité d’utilisation : Pas besoin de connaissance spécifique, il faut juste bien le tenir en main et suivre son instinct d’artiste.
Le peu d’outils : Il suffit d’avoir un stylo 3D et des filaments pour se mettre tout de suite au travail. Les accessoires, c’est du surplus.
La rapidité : En quelques minutes, le stylo 3D est près, il faut juste attendre qu’il chauffe et c’est bon.
La matière : Le filament du stylo 3D devient dur en refroidissant. Ce qui permet de faire des objets solides et qui supportent les chutes.
Le prix : Le stylo 3D en lui-même n’est pas très cher et les filaments vendus font souvent 10 mètres de long. Ce qui permet d’avoir une certaine marge de création. Le plus cher reste les stylos 3D professionnels.

Les « - »
La dextérité : Si vous n’êtes pas habile avec un stylo, l’utilisation d’un stylo 3D peut s’avérer assez difficile.
Les schémas : À l’heure actuelle, trouver des schémas pour faire des créations est assez dur. Mais avec le temps, ceci pourrait bien changer.
L’odeur : L’odeur de plastique chauffé qu’émanent les filaments ABS peut gêner certaines personnes.

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Source image : thewirecutter.com, dezeen.com

Nouvelle : En sa mémoire

Il fallait que je le fasse. J’aurais sûrement pu trouver une autre solution pour honorer sa mémoire. En plus, rien que l’idée de le faire me donnait des sueurs froides. Il faut dire que je ne suis pas une grande amatrice d’aiguilles et encore moins de douleur. Mais je devais le faire.
Pour elle ? Non, pas vraiment. Pour moi ? Sûrement. C’était une thérapie contre la tristesse. Mais aussi un moyen de l’avoir éternellement avec moi.
Elle m’avait sauvée. Elle m’avait réconciliée avec la vie. Si nos routes ne s’étaient pas croisées. Je serais sûrement encore bercée par mes larmes, souhaitant que la grande faucheuse m’embrasse de son baiser mortel.
Dire qu’il y a, à peine, quatorze ans, je m’écorchais la peau à vif chaque soir, car je n’arrivais pas à supporter mes tocs.
Dire que je me détestais au point de vouloir mourir, sans avoir le courage de poser une lame sur ma gorge.
C’était le passé, un horrible passé, que je ne souhaite à personne. Sans elle, j’aurais sûrement fini dans une maison de fous ou pire encore.
Elle a été mon espoir. Celle qui me faisait rire quand mes yeux devenaient larmoyants. Celle qui m’écoutait quand j’avais besoin de parler. Celle qui pouvait me rassurer, me guider.
Sa personnalité prenait tellement de place, que je devais mettre de côté mes habitudes pour pouvoir gérer son énergie.
Aujourd’hui… pourrais-je vivre sans elle ?
Ne vais-je pas retomber malade ? Redevenir fragile ?
Je ne l’espère pas. Non ! Je ne dois surtout pas redevenir ce que j’étais. En sa mémoire, je dois vivre comme elle me l’a appris.
Pour ne pas oublier ces moments de joie, pour ne pas me perdre. Je devais faire ce tatouage.
Je savais que ce sera douloureux, toutefois, ça ne l’a pas été autant que le moment où j’ai vu ses yeux se fermer pour la dernière fois sur ce monde.
J’aurais voulu la sauver. Si j’avais pu, j’aurais donné mon âme au diable pour la faire vivre une année de plus.
Si elle savait, le jour où elle est partie comme j’ai haï ce monde. Lui qui tournait toujours, alors qu’elle n’était plus. Les gens riaient, vivaient, alors que j’étais morte avec elle.
Mais je vous rassure, aujourd’hui, je vais un peu mieux. Des mois sont passés et mon cœur a un peu cicatrisé. Même si la simple mention de son nom me fait encore fondre en larme.
J’arrive à me lever le matin, à travailler, à dormir, et parfois à sourire.
Certaines personnes ne comprennent pas mon geste : pour quoi se faire tatouer son portrait ?
Elle n’était pourtant qu’un simple chat.
Peut-être. Mais elle était mon chat. Mon rayon de soleil.
Celle qui m’a fait me dire : « C’est bon d’être en vie ».