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Recette : Elixir de Nioh

J’aime beaucoup le Japon et son histoire, donc, quand un jeu sort sur ce thème, je me jette littéralement dessus.
C’est le cas avec Nioh, après avoir exploré ce monde rempli de Yokai, j’ai voulu continuer l’aventure en faisant un plat venant du jeu.
Voici l’élixir, une friandise sucrée au bon goût de cacao, qui donne la pêche.
Bon appétit.

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Ingrédient 

– 200 g de dattes dénoyautés.
– 30 g d’amandes concassés.
– 20 g de poudre d’amande.
– 20 g de poudre de noisette.
– 20 g de cacao en poudre.
– 10 g de praliné.
– 1 pincée de sel.

Préparation

1/ Dans un mixeur, mettez les dattes et mixez-les jusqu’à obtenir une pâte.
2/ Ajoutez le cacao, le sel, le praliné, et les amandes. Mixez le tout.
3/ Ajoutez la poudre d’amande et de noisette, mixez de nouveau.
4/ Retirez la pâte du mixeur et mettez-la dans un saladier. Formez des petites boules avec la pâte. Puis placez-les dans une assiette.
5/ Mettez au frais pendant 3 heures avant de déguster.

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Recette : Fondants du Chaudron d’Harry Potter

Actuellement, je prépare la rédaction d’un livre de recettes qui s’inspire de l’univers d’Harry Potter.
Le monde d’Harry Potter est rempli de plats anglais et magique qui ne demandent qu’à être mangés.
Voici une gourmandise qu’on retrouve dans le Poudlard express, aux goûts chocolatés avec une touche de pistaches. : Le Fondant du Chaudron.
J’espère que cette douceur se retrouvera dans votre assiette de sorciers.
Bon appétit.

Ingrédien

Le gâteau :
– 120 g de beurre.
– 120 g de chocolat noir.
– 3 œufs.
– 100 g de sucre.
– 80 g de farine.
– 1 c. à café de levure chimique.
– 1 pincée de sel.

La crème :
– 2 jaunes d’œufs.
– 20 cl de lait.
– 40 g de sucre.
– 1/5 c. à café de pâte de pistache.

Préparation 

1/ Dans une casserole, faites fondre le chocolat et le beurre à feu doux. Versez dans un saladier et laissez reposer 5 minutes.
2/ Ajoutez à la préparation le sel et les œufs. Fouettez jusqu’à obtenir une pâte homogène.
3/ Mettez le sucre, la levure et la farine, mélangez bien.
4/ Beurrez des moules circulaires et individuels et versez-y la pâte.
5/ Mettez dans un fou à 180 °C pendant 15 à 20 minutes.
6/ pendant ce temps, dans une casserole, faites chauffer à feu doux le lait avec la pâte de pistache tout en touillant.
7/ Dans un saladier, fouettez les jaunes d’œufs avec le sucre jusqu’à obtention d’un mélange mousseux.
8/ Versez le lait chaud sur le mélange œufs/sucre et mélangez, puis transvasez le tout dans la casserole et laissez épaissir à feux doux tout en remuant pendant environ 10 minutes.

Conseil 

Si vous n’avez pas de pâte de pistache, vous pouvez soit utiliser de l’arôme de pistaches, ou faire infuser des pistaches concassées dans le lait.
Si vous voulez que la crème soit plus verte, vous pouvez mettre quelques gouttes de colorant vert.

Le chocolat

Si vous avez déjà fait de la pâtisserie ou même mangé des gâteaux, vous n’avez pas pu passer à côté de ce fameux ingrédient. Il est utilisé autant dans la cuisine qu’en pâtisserie. Il a une longue histoire et peut être utilisé sous différentes formes.
Je parle bien sur « du chocolat ».

D’où ça vient ?

Le chocolat a une longue histoire, que je vais vous résumer rapidement.
D’après des résidus trouvés dans des poteries, les premiers à boire du cacao furent les Olmèques (1500 à 400 avant Jésus-Christ), une civilisation de l’ancien Mexique. Ils broyèrent les fèves de cacao, les mélangeaient avec de l’eau, et ajoutaient des piments, des herbes, des épices, du miel, etc.
Au fil du temps, la culture du cacao s’est étendue à la civilisation maya (600 avant Jésus-Christ) et aztèque (1400 avant Jésus-Christ). D’ailleurs, le mot « chocolat » provient du nahuatl, une langue parlée autrefois par les Aztèques « xocolatl » ou « chocolatl », qui veut dire « Eau amère, eau acide ».

Il faudra attendre 1502 pour que Christophe Colomb découvre le cacao sur l’île de Guanaja, il les confondra au début avec des crottes de chèvre.
C’est 26 ans plus tard que la fève de cacao entrera en Europe.

Puis en 1609, le chocolat commencera à arriver en France. Mais c’est seulement à l’accession de Louis XIV et de son épouse Marie-Thérèse d’Autriche au trône que le chocolat aura une place de choix dans la cour du Château de Versailles.
La reine en buvait énormément et le roi était connu comme étant un amoureux de ce breuvage. Au point, qu’il en préparait lui-même dans les cuisines de ses petits appartements

C’est seulement vers 1828 qu’apparaîtra le chocolat que nous connaissons aujourd’hui. Grâce, au Hollandais Van Houten, qui inventera la solubilisation du cacao, créant ainsi le chocolat en poudre. 
Puis, des années, plus tard, en 1847, la première tablette de chocolat verra le jour.
Après ça, de nombreuses chocolateries verront le monde, amenant le chocolat dans chaque foyer et le rendant mondialement connu.

À quoi ça sert ?

Le chocolat se décline en une infinité de possibilités. Il a sa place autant en cuisine, qu’en pâtisserie. De plus, cette matière noble se marie à merveille avec d’autres saveurs telles que les fruits rouges (fraise, framboise, cerise…), la pomme, la poire, les épicés, ou la menthe.
Il peut également être utilisé sous diverses formes, comme un glaçage, une décoration. Il peut être servi froid ou chaud. Bref, le chocolat est polyvalent.

Le chocolat sert donc:
– À réaliser des décors qui durcissent à l’air.
– À décorer des gâteaux, des cupcakes et des biscuits.
– À faire un glaçage.
– À faire des mousses, des crèmes, des glaces.
– À parfumer des plats ou des gâteaux.
– À faire des ornements fins.
– À coller des aliments entre eux.
– À faire une sous-couche pour décorer des gâteaux.
– À faire des bonbons.

Le chocolat ne peut pas être aromatisé ni coloré. Sauf pour le chocolat blanc. Il a l’avantage d’être soit sucré ou soit amer, par rapport au type de chocolat que vous utilisez.

Les différents types de chocolat

À ce jour, il existe 6 différents genres de chocolat, soit :

Le chocolat noir

Il est également appelé « chocolat amer » ou « fondant ». Les ingrédients du chocolat noir sont donc le cacao et le beurre de cacao, ainsi que le sucre. Certains ajoutent également de la lécithine de soja comme liant pour améliorer le fondant du chocolat. Sachez que le chocolat noir comporte plus de beurre que de cacao sec !
Il est nommé « chocolat fin », ou « chocolat supérieur » que s’il contient un minimum de 43 % de cacao. Certains trouvent qu’il a un goût trop amer.

Le chocolat au lait

Il a été inventé par Daniel Peter. La fabrication du chocolat au lait est identique à celle du chocolat noir. On ajoute simplement du lait en poudre au cacao pour rendre le produit encore plus onctueux.
Les chocolats plus économiques incluent d’autres graisses végétales afin de réduire le coût du produit, mais aussi sa qualité.
Il est aussi calorique que le chocolat noir, mais il est beaucoup plus sucré et moins gras.
Les gens pensent à tort qu’ils peuvent faire leur propre chocolat au lait, en mélangeant de la crème avec du chocolat noir. Ce qui n’est pas le cas.

Le chocolat blanc

Pour créer du chocolat blanc, il ne faut pas ajouter de beurre de cacao. C’est la raison pour laquelle certains trouvent qu’il n’est pas vraiment du chocolat. Il est donc composé de lait en poudre, de beurre de cacao, d’arômes, de sucre et de lécithine.

Le chocolat blond

Le chocolat blond est une invention de Frédéric Bau, de la maison Valrhona. Il s’agit simplement d’un chocolat blanc cuit au bain-marie, qui a caramélisé et devient d’une couleur blonde. Il a un goût fumé, avec une touche de caramel.

Le chocolat Ruby

Le chocolat Ruby est la dernière nouveauté et a été découvert par Barry Callebaut, leader mondial des fabricants de produits à base de chocolat et de cacao de qualité supérieure. Ce chocolat est fabriqué à partir de la fève de cacao appelée Ruby et offre un goût fruité de baie. Sa couleur et son goût sont naturels et pas artificiels. Il a fallu de nombreuses années pour parvenir à transformer la fève en chocolat et déployer toute sa saveur.

Le chocolat de couverture

Le chocolat de couverture est destiné à enrober des fourrages pour confectionner des « bonbons chocolat ». Selon la réglementation en vigueur, il doit contenir au minimum 31 % de beurre de cacao et 2,5 % de cacao sec dégraissé.

Comment l’utiliser ?

Le chocolat peut être utilisé sous différentes formes en étant fondu et mélangé à une autre préparation. Par contre, si vous voulez utiliser le chocolat sous sa forme la plus pure, pour créer des décorations, ou des confiseries, il faut apprendre à le tempérer.
Ceci consiste à faire passer le chocolat par 3 paliers de température afin d’obtenir une bonne cristallisation du beurre de cacao. Cette dernière correspond au passage de l’état liquide à l’état solide. De cette manière, non seulement le chocolat devient brillant et cassant, mais il se conserve plus longtemps et sèche rapidement.

Il existe plusieurs manières de tempérer le chocolat, voici trois façons de faire :

Au bain-marie 

1/ Cassez votre tablette de chocolat dans un cul-de-poule.
2/ Puis préparez un autre cul-de-poule rempli de glaçons, il servira à refroidir le chocolat.
3/ Puis, remplissez une grande casserole d’eau au 1/3 et porter à ébullition.
4/ Mettez votre cul-de-poule sur la casserole, mais attention le fond du bol ne doit pas toucher l’eau. C’est la vapeur qui fait fondre votre chocolat.
5/ Prenez un thermomètre et dès que le chocolat commence à atteindre le palier 1, déposez le cul-de-poule dans le bain de glaçons afin qu’il redescende à la température du palier 2.
6/ Pour finir, remettez le cul de poule une dernière fois sur le bain-marie pour qu’il atteigne le palier 3. Il ne reste plus qu’à l’utiliser

Par ensemencement 

1/ Sur la totalité du chocolat, vous en fondez que le ¾, jusqu’au palier 1. Tout en mettant le reste de côté.
2/ Quand il faudra refroidir le chocolat, pour atteindre le palier 2, ajoutez le chocolat restant tout en remuant pour le faire fondre.
3/ Puis, vous remettez votre cul-de-poule sur la casserole pour atteindre le palier 3.

Au micro-ondes

1/ Cassez la tablette en chocolat en petits morceaux dans un récipient de verre adapté au micro-ondes. 
2/ Chauffez une minute à 500w, puis remuez avec une spatule pour le refroidir.
3/ Chauffez à nouveau 30 secondes à 500 w et mélangez de nouveau.

Les paliers de température en °C selon le chocolat

Palier 1Palier 2Palier 3
Chocolat blanc/blond45-48 °C26-27 °C27-29 °C
Chocolat rubis 45 °C27 °C28-29 °C
Chocolat au lait/gianduja45-48 °C27-28 °C30-31 °C
Chocolat noir50-55 °C28-29 °C31-32 °C

Petit conseil

– Pour de jolie coque ou décoration, prenez des moules en polycarbonate, le démoulage sera plus simple.
– Le chocolat ne supporte pas l’eau. Si jamais de l’eau se retrouve en contact avec votre chocolat, vous n’arriverez plus à le tempérer correctement. Dans ce cas, gardez-le de côté pour la réalisation de vos gâteaux.
– Si votre tempérage est raté, vous verrez des traces blanches, et il ne se démoule pas correctement. Mais ce n’est pas grave, car vous pouvez faire fondre et tempérer le chocolat autant de fois que nécessaire.
– Plus le chocolat a été fondu longtemps en maintenant une température de 50-55°, plus le résultat sera parfait.
– Tous les chocolats ne se prêtent pas au tempérage. Il faut choisir un bon chocolat de couverture, c’est-à-dire avec 32% minimum de beurre de cacao.

Les différents types de colorants alimentaires

Lorsque vous débutez en pâtisserie, vous ne savez pas automatiquement quel colorant utiliser dans vos gâteaux. Ils en existent sous différentes formes et certains s’utilisent qu’avec un type d’aliment. Alors, lequel prendre dans ces conditions ?
Et si je vous aidais, en vous expliquant : les différents types de colorants alimentaires.

Un colorant alimentaire, c’est quoi ?

Les colorants alimentaires sont des substances que vous rajoutez aux aliments ou préparations pour leur offrir un aspect coloré, ludique, appétissant ou original. Normalement, il n’altère pas le goût. Toutefois, les colorants peuvent avoir un effet exhausteur, c’est-à-dire qu’il renforce la saveur d’un ingrédient. Par exemple, le jaune rappelle le citron.

Il faut savoir qu’il existe plusieurs familles de colorants alimentaires, soit :
Les colorants naturels : Ils sont présents dans la nature, comme la carotte ou la betterave.
Les colorants de synthèse : ils sont produits de façon industrielle, mais ils existent dans la nature.
Les colorants artificiels : ils n’existent pas du tout dans la nature et sont créés de façon industrielle.

Les colorants alimentaires sont aussi répartis dans deux catégories, soit :
Les colorants alimentaires hydrosolubles : Ils sont solubles dans l’eau. Ils conviennent pour la coloration des produits à base de sucre, de pâte d’amande ou les pâtes.
Les colorants alimentaires liposolubles : Ils sont solubles dans les graisses. Ils conviennent pour la coloration du beurre de cacao, du chocolat blanc, du beurre, ou de la margarine.

Enfin, les colorants alimentaires peuvent être incorporés de deux manières, soit :
Dans la masse: Les colorants sont incorporés directement dans la préparation et la colorent entièrement.
Pour la décoration et la finition: Les colorants sont apposés à la surface de l’aliment ou du gâteau. Ils servent souvent pour créer des effets (dorée, nacrée) ou rendre plus appétissant.

Note : Dans cet article, je ne parlerai que des colorants de masse, ceux, pour décorer, seront détaillés dans un autre article.

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Les colorants liquides

Les colorants liquides existent sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : ils sont faits à base d’eau et très faciles à incorporer aux appareils liquides et crémeux, qu’ils soient chaud ou froids. Ils peuvent aussi être utilisés dans les pâtes de pâtisseries cuites au four. Par contre, s’il vous cherchait à obtenir une couleur vive, il faudra en mettre un peu plus que la normale, car les gâteaux perdent une teinte à la cuisson.

Sous forme liposoluble : Ils sont également faciles à introduire à une préparation. Ils permettent de teindre les matières grasses, comme le beurre de cacao, le chocolat blanc, le beurre, ou encore la margarine.

Les « + »
– Ils s’adaptent à toutes sortes de préparations sucrées et salées.
– Ils peuvent s’utiliser dans différentes préparations.
– Les couleurs peuvent se mélanger entre elles, pour créer des teintes inédites.
– Le dosage est facile.

Les « - »
– Il n’est pas fiable en matière de coloration, il arrive que la cuisson rende la couleur plus terne.
– Ils sont une faible durée de conservation.
– La variété de couleurs sur le marché est faible.
– Ils ont un goût parfois désagréable.
– Dans certain cas, ils peuvent modification la texture de la pâte.
– Les pigments sont très dilués.

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Les colorants en poudre

Les colorants en poudre existent sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : Ils sont souvent utilisés comme décoration, en le saupoudrant ou en l’appliquant avec au pinceau. Ils peuvent également être mélangés avec des essences ou de la liqueur alcoolisée pour être utilisée en tant que peinture. Ils sont surtout utilisés pour colorer les fondants, car ils n’ont aucun goût. Par contre, les colorants en poudre sont très concentrés et durs à doser.

Sous forme liposoluble : Ils sont faciles à introduire à une préparation. Ils permettent de teindre les matières grasses, comme le chocolat blanc, le beurre, le nappage neutre à froid ou encore la margarine. Ils peuvent aussi être utilisés pour décorer du chocolat, des produits à base de sucre et de pâte d’amandes.

Les « + »
– Ils peuvent être utilisés sous différentes formes, en peinture, en décoration…
– Ils s’incorporent facilement dans les préparations humides.
– Si les colorants sont de bonne qualité, la teinte sera parfaite.
– Ils sont très concentrés.
– Les couleurs peuvent être mélangées entre elles avant l’incorporation.
– Les couleurs sont intenses et soutenues.
– Ils se conservent longtemps.

Les « - »
– Ils sont le moins indiqués pour teindre le chocolat.
– Ils sont très difficiles à doser, donc c’est très dur d’obtenir les mêmes teintes à chaque fois.
– Un colorant de mauvaise qualité peut conduire à des couleurs désastreuses.
– Il faut diluer au préalable le colorant avant de l’incorporer dans une pâte sèche.

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Les colorants en gels

Les colorants en gels existent aussi sous forme hydrosoluble et liposoluble.

Sous forme hydrosoluble : Aussi appelés « colorants en pâte ». Ces colorants sont les préférés des pâtissiers, car ils sont concentrés et il est facile d’obtenir la nuance désirée. Ils vont dans toutes les pâtes à gâteaux ou les crèmes. Ils sont vendus dans une gamme de couleurs assez large, au moins une quarante de couleur.

Sous forme liposoluble : Ils permettent de teindre les matières grasses ou huileuses, comme le chocolat blanc, la crème au beurre, la margarine ou la pâte d’amandes. Les couleurs sont très intenses et surtout ces colorants ne changent pas la texture.

Les « + »
– Ils s’adaptent facilement à toutes les réalisations.
– Ils sont très concentrés.
– Ils s’incorporent facilement dans les préparations.
– Les couleurs sont intenses et soutenues
– Ils se conservent longtemps.

Les « - »
– Les couleurs sont difficulté à estimer dans le pot.
– Ils sont très difficiles à doser, sauf s’ils sont en tube.

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Recette : Cookie menthe-chocolat

Je ne sais pas pour vous, mais j’adore la menthe et les cookies. Alors, pourquoi ne pas fusionner ces deux saveurs ?
Je vous présente la recette d’une petite pâtisserie toute simple, mais très savoureuse : Les cookies Menthe-Chocolat.

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Pour : Une trentaine de cookies

Ingrédient

– 150 g de pépites de chocolat
– 2 ou 3 gouttes d’arômes de menthe (selon vos goûts)
– 1 sachet de sucre vanillé (7,5 g)
– 200 g de beurre mou.
– 140 g de sucre en poudre.
– 350 g de farine.
– 1 œuf.
– Du colorant vert

Préparation

1/ Préchauffez le four à 180 °C.
2/ Dans un saladier, fouettez le beurre et le sucre. Ajoutez ensuite l’arôme de menthe, le colorant vert et l’œuf.
3/ Puis, incorporez, au fur et à mesure, la farine et les pépites en mélangeant doucement.
4/ Formez des petites boules de pâtes et aplatissez-les sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.
5/ Puis enfournez au four pendant 10 minutes environ.
6/ Sortez vos biscuits du four et laissez-les refroidir.

Conseil : Vous pouvez rajouter plus ou moins d’arôme de menthe selon votre goût. Mais attention, la menthe sera plus puissante après la cuisson.
Si vous n’avez pas de pépites de chocolat, vous pouvez prendre une tablette de chocolat noir et la casser en morceaux avant de l’incorporer à la préparation.

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