Spoiler Remarried Empress – Chapitre 186 à 188

Voici les résumés des chapitres 186 à 188 de Remarried Empress.

Chapitre 186

Nian revient de son voyage et elle offre des cadeaux à toutes les bonnes de Navier. Puis Navier l’invite à prendre le thé et lui parle du marquis de la Liberté. Nian la rassure tout de suite, disant qu’elle a déjà rejeté le fils du marquis.

Après une sieste, Navier est réveillée par ses femmes de chambre qui lui tend le journal de l’Empire d’Orient. Navier apprend que la fille de Sovieshu n’est pas la sienne.
 Ses bonnes lui demandent alors ce qu’elle veut faire. Navier réfléchit et dit que ce n’est pas lié à elle.

Dans l’empire d’Orient, beaucoup de nobles demandent que Rashta passe le test de paternité avec ses parents. Malheureusement, leur souhait ne pouvait pas être réalisé. Dès que le couple est revenu à la capitale, il fut incarcéré. Ils furent accusés d’avoir tenté de tuer l’assistant d’un sorcier. Bien sûr, ceci a fait resurgir les rumeurs comme quoi Evely est la concubine de l’empereur.

Entre-temps, la colère de Sovieshu n’est pas redescendue. Il a aussi tenté de convaincre le duc Ergi d’abandonner le port. Mais celui-ci publia tous les documents dans un journal, dévoilant la bêtise de Rashta. Toute la population voit maintenant leur empereur comme un homme bête, qui n’a pas été capable de contrôler sa femme.
C’est ainsi que Sovieshu a accéléré le procès des parents de Rashta, tentant d’occuper l’esprit de son peuple autre part.

Alors que Sovieshu nettoie son épée et parle au marquis de Karl, il apprend que Glory est malade. Les yeux de Sovieshu tremblent. Puis il se met en colère contre marquis. Celui-ci comprend qu’il doit ignorer l’enfant. Alors que l’homme part, Sovieshu continue à polir son épée. Toutefois, étant perdu dans ses pensées, il se coupe la main.
Regardant son sang, Sovieshu appelle une escorte secrète. Il leur demande de vérifier l’état de Glory. Sovieshu ne sait pas pourquoi il agit ainsi. Ce n’est pas sa fille, c’est celle d’Allen…

Chapitre 187

Le marquis Karl et Sovieshu parlent des faux parents de Rashta et comment va se passer le procès. Il veut mettre les péchés du couple sur Rashta. Malheureusement, celle-ci n’est pas liée à l’attaque sur Evely.

Toutefois, sans que Sovieshu ne le sache, le vicomte Rotesse a agi de son côté. Il va voir en prison le couple Iscua, qui l’accueille froidement. Le couple commence à critiquer le vicomte en parlant d’Allen. Mais étonnamment, au lieu d’avoir peur, le vicomte rit.
Le vicomte Rotesse leur parle soudainement de leur vraie fille. Sur le moment, le couple ne comprend pas et demande l’identité de leur enfant. Le vicomte leur dit alors que c’est Evely.

Les visages des deux parents deviennent blancs. Ils tremblent, demandant confirmation de l’identité d’Evely. Ils n’y croient pas.
Le vicomte sourit et montre les papiers de l’orphelinat. En voyant la vérité, le vicomte Iscua se met en colère. Il demande encore et encore pourquoi il n’avait pas eu l’information avant. Si ça avait été le cas, il aurait fui avec son enfant.
Le vicomte Rotesse lui répond que c’est à cause de Rashta, car elle a essayé de tuer sa fille. Après son coup de théâtre, le vicomte part, laissant derrière lui un couple dévasté, qui cri de tristesse.

Le vicomte Rotesse va vite convertir ses bijoux en or et il va les offrir via un homme de confiance à sa femme. Il apprend entre-temps que son fils Allen a été capturé par les chevaliers de l’empereur.
L’homme rentre chez lui, attendant la fin. Il repense une dernière fois à sa femme bien aimée.

Navier et Heinley sont dehors, profitant du coucher de soleil. Le couple s’est enfin réconcilié vis-à-vis du livre de guerre. Heinley lui demande comment elle prend la nouvelle de Rashta et Sovieshu. Elle n’est pas vraiment heureuse, mais trouve toute l’histoire étrange.
Son ex-mari la quittait pour ce genre d’amour. Elle souhaite que rien de tel n’arrive entre elle et Heinley. Elle oublie cette pensée et embrasse Heinley. Celui-ci répond que ce n’est pas bon de faire de tels bruits, le bébé pourrait les entendre. Navier le rassure, disant que le bébé dort. Ce qui surprend Heinley.

Chapitre 188

Le couple Iscua était vide, comme si leur âme avait déjà quitté leur corps. Ils essayent de savoir si Evely était vraiment leur enfant tout en pensant à leur comportement. Puis en regardant plus attentivement le portrait d’Evely, ils ont remarqué des points en commun avec leurs propres visages.
À la fin, il se demande s’ils devraient voir Evely. Mais ils ont peur qu’elle les déteste.

En peine réflexion, le couple entend des pas. C’est Evely qui est venu les voir. En voyant leur fille être froide avec eux, ils avaient mal au cœur. Toutefois, ils répondirent avec le sourire.
Evely commence à les maudire comme ils ont fait avec elle. Le vicomte tente alors de lui parler. Evely accepte de les écouter. Le couple s’excuse sincèrement. Mais Evely dit qu’elle n’en a pas besoin, car ces excuses ne sont pas sincères. De plus, elle ne les accepte pas, de peur de faire un témoignage favorable lors du procès.

Evely demande alors pourquoi ils ont tenté de la blesser. Ils répondent que ça n’a rien à voir avec leur sentiment (si, si à l’époque vous la détestiez). Evely les compare alors à Rashta, en disant que leur fille leur ressemble bien. Madame Iscua se met alors à pleurer. Elle n’arrive pas à parler.
Evely part victorieuse. Le vicomte tombe à terre et pleure à son tour. Il promet qu’il ne sera pas le père d’Evely. IL ne veut pas lui faire du mal. Il ne dira jamais la vérité à Evely. Quant à Rashta, elle va le payer, car elle a nui à leur fille. Ils doivent sortir Rashta de la vie d’Evely.

Navier ne comprend pas, depuis un moment, Heinley s’est mis aux arts martiaux. C’est alors que Rose, une de ses bonnes, à une idée. Peut-être que Heinley fait ça à cause du bébé. Il veut être en forme devant l’enfant à naître, car celui-ci sera actif. Navier accepte. Mais derrière, elle sait que ce n’est pas le cas. Connaissant la personnalité de Heinley, il ne ferait pas ça juste pour l’enfant.

Soudainement, la Princesse Chalet vient rendre visite à Navier. Alors qu’elle se parle joyeusement. Navier remarque que Masters fixe ses chaussures, essayant de ne pas regarder la princesse. Dès que la princesse part, la pauvre bonne est moins active, inquiétant même ses collègues. Navier comprend que Master aime vraiment son frère, Koshar.

Le soir même, elle en parle à Heinley. Elle lui pose également des questions sur l’affection entre deux personnes. Heinley répond qu’il n’y connaît rien. Navier est surprise, car il était un play-boy, donc il devrait savoir comment flirter. Heinley répond qu’il a juste imité. Et que la seule femme, dans sa vie, est elle.
Navier, lui répond qu’elle veut juste l’interroger sur l’histoire d’amour d’une autre personne. Heinley refuse en disant qu’il n’est qu’un étranger dans l’histoire. Bizarrement, Navier est un peu offensée par cette réponse. Puis elle lui met une cuillère dans la bouche, tout en le traitant de seigneur

Le lendemain, Heinley marmonne que Navier est mignonne encore et encore. Ceci énerve McKenna, qui lui demande pourquoi il dit ça. Heinley dit que Navier lui a trouvé un surnom : mon seigneur. McKenna lui demande le contexte. Puis, l’expression de McKenna est déformée en deux par le ridicule et la sympathie. Il répond : l’impératrice n’a tel pas juste juré ?